Des experts de la santé se sont réunis de mercredi à jeudi à la Direction de la santé communautaire, à Abidjan, en vue d’élaborer un plan stratégique de communication destiné à mieux organiser et promouvoir le secteur de la médecine traditionnelle, apprend-on d’une note d’information transmise à l’AIP.
"Nous avons énormément évolué en Côte d'Ivoire en matière de médecine traditionnelle. Le Programme dispose d'une politique nationale de promotion de la médecine traditionnelle, d'un plan stratégique de promotion de la médecine traditionnelle, d'un code d’éthique et de déontologie à l'attention des praticiens de médecine mais faute de communication efficace toutes ses avancées restent encore méconnues des médias et partant de l'opinion nationale'', a déclaré le directeur - coordonnateur national, Dr Kroa Ehoulé.
Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT), créé le 28 décembre 2001 par arrêté ministériel n°409, a pour mission, entre autres, d’organiser, de réglementer, de promouvoir et de réhabiliter la médecine et la pharmacopée traditionnelle en Côte d’Ivoire.
''Nous disposons aussi d'une base de données sur les acteurs, les pratiques et les produits issus de la médecine et de la pharmacopée traditionnelles. En outre, la pharmacopée ivoirienne à base de plantes est en cours d’élaboration. Ce sont toutes ces avancées que nous devrions capitaliser à travers une bonne stratégie de communication'', a révélé le directeur - coordonnateur du PNPMT.
Selon l’OMS, environ 90% de la population ivoirienne a recours en première ou deuxième intention à la médecine traditionnelle, pour la résolution des problèmes de santé, en milieu rural comme en zone urbaine.
Depuis le 20 juillet 2015, l’exercice et l’organisation de la médecine traditionnelle sont réglementés par la loi N° 2015-536. Aussi, les accoucheuses traditionnelles, les herboristes, les médico-droguistes (toutes personnes qui sur la base des connaissances acquises en médecine et pharmacopée traditionnelle conditionne et vend des matières animales ou minérales, à des fins thérapeutiques), les naturothérapeutes, les phytothérapeutes et les psychothérapeutes sont reconnus comme Praticiens de médecine traditionnelle en Côte d’Ivoire.
cmas
"Nous avons énormément évolué en Côte d'Ivoire en matière de médecine traditionnelle. Le Programme dispose d'une politique nationale de promotion de la médecine traditionnelle, d'un plan stratégique de promotion de la médecine traditionnelle, d'un code d’éthique et de déontologie à l'attention des praticiens de médecine mais faute de communication efficace toutes ses avancées restent encore méconnues des médias et partant de l'opinion nationale'', a déclaré le directeur - coordonnateur national, Dr Kroa Ehoulé.
Le Programme national de promotion de la médecine traditionnelle (PNPMT), créé le 28 décembre 2001 par arrêté ministériel n°409, a pour mission, entre autres, d’organiser, de réglementer, de promouvoir et de réhabiliter la médecine et la pharmacopée traditionnelle en Côte d’Ivoire.
''Nous disposons aussi d'une base de données sur les acteurs, les pratiques et les produits issus de la médecine et de la pharmacopée traditionnelles. En outre, la pharmacopée ivoirienne à base de plantes est en cours d’élaboration. Ce sont toutes ces avancées que nous devrions capitaliser à travers une bonne stratégie de communication'', a révélé le directeur - coordonnateur du PNPMT.
Selon l’OMS, environ 90% de la population ivoirienne a recours en première ou deuxième intention à la médecine traditionnelle, pour la résolution des problèmes de santé, en milieu rural comme en zone urbaine.
Depuis le 20 juillet 2015, l’exercice et l’organisation de la médecine traditionnelle sont réglementés par la loi N° 2015-536. Aussi, les accoucheuses traditionnelles, les herboristes, les médico-droguistes (toutes personnes qui sur la base des connaissances acquises en médecine et pharmacopée traditionnelle conditionne et vend des matières animales ou minérales, à des fins thérapeutiques), les naturothérapeutes, les phytothérapeutes et les psychothérapeutes sont reconnus comme Praticiens de médecine traditionnelle en Côte d’Ivoire.
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