Autrichien de nationalité, et d’origine congolaise, Quai-d’orsay Kuva a décidé de valoriser le Garba, ce met populaire ivoirien, à travers un festival qu’il a baptisé ‘’Garba party festival’’. Egalement écrivain et directeur général de ‘’face cachée communication’’ et ‘’face cachée magazine.com’’, il nous donne les raisons d’une telle tribune culinaire.
Pour vous, l’actualité, c’est certainement les préparatifs de la 1ère édition du Festival de Garba que vous préparez ?
Tout à fait. Puisque c’est l’événement le plus populaire et le plus attendu en ce moment au pays. Le ‘’Garba party festival’’ se veut le plus populaire comme jamais réalisé à Abidjan. Il aura lieu du 7 au 9 juillet 2017 à l’espace Saint-Jean de Cocody, non loin de la Cité rouge. Précisément entre la cité rouge et l’église Saint-Jean.
Pourquoi un tel festival ?
Garba party festival, c’est vrai, au-delà de son aspect festif, il se cache une vision sociale et humanitaire derrière. L’attiéké, c’est quelque chose de très apprécié. Ce sera difficile qu’on l’entame du haut. Il faut commencer du bas vers le haut. Notre projet nous tient à cœur. Donc derrière ce festival, à long terme, notre projet est de construire un restaurant du cœur. C’est-à-dire, 25 % des bénéfices que nous allons récolter au cours de ces évènements sur 5 ans, nous allons le mettre à côté en association avec un organisme international comme national qui pourrait nous aider à construire ce restaurant où chaque citoyen ici en Côte d’Ivoire pourrait s’offrir au moins un repas par jour.
Avec la connotation que le garba a dans l’esprit des gens, quelles actions comptez-vous mener pour changer les mentalités ?
Je vous ai déjà dit que je suis Autrichien résidant en Côte d’Ivoire. Je ne suis pas un Ivoirien. Et si moi qui viens de l’Europe, je m’approprie le garba, je fais du garba quelque chose de luxe, le challenge derrière ça aussi, c’est d’amener la jeunesse à ne pas se complexer derrière le garba. Le garba sans le savoir, c’est un grand patrimoine de la culture ivoirienne. C’est un grand patrimoine de la gastronomie ivoirienne.
Quel sont les grands noms qui sont annoncés à ce festival ?
Nous avions quand même contacté des autorités qui sont très proches de la jeunesse. Qui sont impliquées dans le quotidien de la jeunesse. Je parlerai du président de l’Assemblée nationale SEM Guillaume Soro qui, vraiment s’implique dans les activités de la jeunesse. Et nous avions également contacté le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko que toute la jeunesse abidjanaise connaît. Nous avions contacté les deux députés de la commune de Cocody. Nous avions également contacté le premier magistrat de la commune de Cocody qui est vraiment impliqué avec tout son staff. Nous attendons des ambassadeurs ainsi que des organismes afin qu’ils viennent s’imprégner. Le Garba est un véritable patrimoine non seulement gastronomique mais aussi culturel abidjanais. (…) Comme je le disais tantôt, c’est une action plus sociale que festive. Tous ceux qui vont enlever 1000f, 3500f, 5000f pour les différents prix de tickets, pour participer à cet événement, qu’ils considèrent qu’ils sont en train de contribuer à la construction d’un restaurant du cœur qui va soutenir les familles pauvres dans ce pays et dans le district d’Abidjan. Je leur dis déjà merci à l’avance parce que ce n’est pas facile de contribuer au bonheur de quelqu’un d’autre.
Réalisée par M. Ouattara
Pour vous, l’actualité, c’est certainement les préparatifs de la 1ère édition du Festival de Garba que vous préparez ?
Tout à fait. Puisque c’est l’événement le plus populaire et le plus attendu en ce moment au pays. Le ‘’Garba party festival’’ se veut le plus populaire comme jamais réalisé à Abidjan. Il aura lieu du 7 au 9 juillet 2017 à l’espace Saint-Jean de Cocody, non loin de la Cité rouge. Précisément entre la cité rouge et l’église Saint-Jean.
Pourquoi un tel festival ?
Garba party festival, c’est vrai, au-delà de son aspect festif, il se cache une vision sociale et humanitaire derrière. L’attiéké, c’est quelque chose de très apprécié. Ce sera difficile qu’on l’entame du haut. Il faut commencer du bas vers le haut. Notre projet nous tient à cœur. Donc derrière ce festival, à long terme, notre projet est de construire un restaurant du cœur. C’est-à-dire, 25 % des bénéfices que nous allons récolter au cours de ces évènements sur 5 ans, nous allons le mettre à côté en association avec un organisme international comme national qui pourrait nous aider à construire ce restaurant où chaque citoyen ici en Côte d’Ivoire pourrait s’offrir au moins un repas par jour.
Avec la connotation que le garba a dans l’esprit des gens, quelles actions comptez-vous mener pour changer les mentalités ?
Je vous ai déjà dit que je suis Autrichien résidant en Côte d’Ivoire. Je ne suis pas un Ivoirien. Et si moi qui viens de l’Europe, je m’approprie le garba, je fais du garba quelque chose de luxe, le challenge derrière ça aussi, c’est d’amener la jeunesse à ne pas se complexer derrière le garba. Le garba sans le savoir, c’est un grand patrimoine de la culture ivoirienne. C’est un grand patrimoine de la gastronomie ivoirienne.
Quel sont les grands noms qui sont annoncés à ce festival ?
Nous avions quand même contacté des autorités qui sont très proches de la jeunesse. Qui sont impliquées dans le quotidien de la jeunesse. Je parlerai du président de l’Assemblée nationale SEM Guillaume Soro qui, vraiment s’implique dans les activités de la jeunesse. Et nous avions également contacté le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko que toute la jeunesse abidjanaise connaît. Nous avions contacté les deux députés de la commune de Cocody. Nous avions également contacté le premier magistrat de la commune de Cocody qui est vraiment impliqué avec tout son staff. Nous attendons des ambassadeurs ainsi que des organismes afin qu’ils viennent s’imprégner. Le Garba est un véritable patrimoine non seulement gastronomique mais aussi culturel abidjanais. (…) Comme je le disais tantôt, c’est une action plus sociale que festive. Tous ceux qui vont enlever 1000f, 3500f, 5000f pour les différents prix de tickets, pour participer à cet événement, qu’ils considèrent qu’ils sont en train de contribuer à la construction d’un restaurant du cœur qui va soutenir les familles pauvres dans ce pays et dans le district d’Abidjan. Je leur dis déjà merci à l’avance parce que ce n’est pas facile de contribuer au bonheur de quelqu’un d’autre.
Réalisée par M. Ouattara