Abidjan - Les dirigeants africains ont donné leur accord pour l’institution d’une taxe pour le financement de l’Union africaine (UA).
Dans une déclaration à la presse, au terme de la cérémonie d’ouverture du 29ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, le président Alassane Ouattara, relevant les trois points importants abordés par le sommet, a indiqué que "la taxe à l’importation de l’Union africaine" pour permettre à l’organisation panafricaine de s’autofinancer est entrée en vigueur depuis le 1er juillet 2017, précisant que cette taxe est fixée à de la valeur CAF des marchandises importées des Etats non membres de l’Union africaine et destinées à la consommation.
En outre, les chefs d’Etat et de gouvernement ont donné leur accord pour la réforme institutionnelle de l'Union et la transformation du NEPAD en une agence rattachée à la Commission de l'Union africaine.
Lors de l’ouverture des travaux du 29ème sommet de l’UA, le président en exercice de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, Alpha Condé, a invité les pays africains à mutualiser leurs efforts en vue de créer un espace africain propice à l’épanouissement de leur jeunesse, à travers la transformation des systèmes et des méthodes de gouvernance. Il a aussi appelé ses pairs à une prise de conscience de l’impératif de l’unité africaine et de l’intégration politique et économique du continent.
Pour sa part, le président de la Commission, Moussa Faki Mahamat, a exhorté les Etats à accélérer la mise en oeuvre de la réforme institutionnelle de l’Union africaine et à résoudre les conflits en cours sur le continent. Il s’agit notamment de ceux du Soudan du Sud, de la Libye, de la République centrafricaine, du Mali, de la République démocratique du Congo, du Burundi, de la Guinée-Bissau et du différend opposant l’Ethiopie à l’Erythrée, a-t-il énuméré.
Le 29ème sommet de l’UA qui se déroule à Addis-Abeba prend fin ce mardi.
akn /kp
Dans une déclaration à la presse, au terme de la cérémonie d’ouverture du 29ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement, le président Alassane Ouattara, relevant les trois points importants abordés par le sommet, a indiqué que "la taxe à l’importation de l’Union africaine" pour permettre à l’organisation panafricaine de s’autofinancer est entrée en vigueur depuis le 1er juillet 2017, précisant que cette taxe est fixée à de la valeur CAF des marchandises importées des Etats non membres de l’Union africaine et destinées à la consommation.
En outre, les chefs d’Etat et de gouvernement ont donné leur accord pour la réforme institutionnelle de l'Union et la transformation du NEPAD en une agence rattachée à la Commission de l'Union africaine.
Lors de l’ouverture des travaux du 29ème sommet de l’UA, le président en exercice de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement, Alpha Condé, a invité les pays africains à mutualiser leurs efforts en vue de créer un espace africain propice à l’épanouissement de leur jeunesse, à travers la transformation des systèmes et des méthodes de gouvernance. Il a aussi appelé ses pairs à une prise de conscience de l’impératif de l’unité africaine et de l’intégration politique et économique du continent.
Pour sa part, le président de la Commission, Moussa Faki Mahamat, a exhorté les Etats à accélérer la mise en oeuvre de la réforme institutionnelle de l’Union africaine et à résoudre les conflits en cours sur le continent. Il s’agit notamment de ceux du Soudan du Sud, de la Libye, de la République centrafricaine, du Mali, de la République démocratique du Congo, du Burundi, de la Guinée-Bissau et du différend opposant l’Ethiopie à l’Erythrée, a-t-il énuméré.
Le 29ème sommet de l’UA qui se déroule à Addis-Abeba prend fin ce mardi.
akn /kp