M. Haïdara prononçait une conférence sur l’agenda du travail décent et la problématique de l’emploi des jeunes, dans le cadre des grandes rencontres du Conseil économique, social, environnemental et culturel de Côte d’Ivoire.
‘’(…) En Afrique l’informel est la réalité et le formel est l’exception. Il faut d’autres types de mesures pour emmener le secteur informel à évoluer et à se développer’’ a-t-il poursuivi, relevant que ‘’l’école africaine forme des chômeurs parce qu’il y a une déconnexion entre la formation et la réalité de l’emploi’’.
‘’Pour preuve, le nombre de diplômés au chômage ou sans emploi est très élevé alors qu’il y a des offres d’emploi qui ne sont pas satisfait par manque de profil’’ a encore dit Haïdara Dramane.
‘’La solution de l’Afrique dans l’emploi des jeunes viendra de la valorisation de l’enseignement technique (…) , 93% des actifs an Afrique sont dans l’informel ce qui fait qu’en Afrique l’informel est la réalité et le formel est l’exception’’ a insisté le patron de l’OIT en Côte d’Ivoire. Pour lui, ‘’la politique de l’emploi n’est pas une politique sectorielle mais une macro-économique’’.
‘’Il faut savoir que c’est le privé qui créé la richesse et l’emploi. Le rôle des ministères chargés de l’emploi n’est pas de créer des emplois, ils doivent avoir un rôle d’incubateur ou d’impulseur. Pour employer un jeune ou un diplômé on lui demande de l’expérience professionnelle. Le ministère peut jouer un rôle à ce niveau en promettant aux jeunes diplômés d’avoir des stages’’ a ajouté M . Haïdara
Il a par ailleurs suggéré que pour lutter contre le chômage et le problème de sans emploi, ‘’il faut accroître l’investissement dans l’agriculture et les infrastructures économiques’’. Pour lui, il faut ‘’donner un puissant élan à la formation et à l’apprentissage à tous les niveaux’’, et ‘’tout le gouvernement, syndicats et élus locaux doivent se mettre ensemble pour harmoniser leurs politiques pour résoudre les problèmes de l’emploi’’.
Selon le Président du Conseil économique, sociale, environnemental et culturel, Charle Koffi Diby, l’une des problématiques qui se pose comme un défi, dont la recherche de solution fait l’objet de diverses rencontres internationales aujourd’hui est la question de la jeunesse.
A ce propos, il a cité le prochain sommet des chefs d’Etats et l’UE et de l’Afrique ainsi que la rencontre des acteurs économiques et sociaux prévus en novembre 2017 à Abidjan et qui examineront la question de l’emploi jeune dans tous ses aspects.
APA
‘’(…) En Afrique l’informel est la réalité et le formel est l’exception. Il faut d’autres types de mesures pour emmener le secteur informel à évoluer et à se développer’’ a-t-il poursuivi, relevant que ‘’l’école africaine forme des chômeurs parce qu’il y a une déconnexion entre la formation et la réalité de l’emploi’’.
‘’Pour preuve, le nombre de diplômés au chômage ou sans emploi est très élevé alors qu’il y a des offres d’emploi qui ne sont pas satisfait par manque de profil’’ a encore dit Haïdara Dramane.
‘’La solution de l’Afrique dans l’emploi des jeunes viendra de la valorisation de l’enseignement technique (…) , 93% des actifs an Afrique sont dans l’informel ce qui fait qu’en Afrique l’informel est la réalité et le formel est l’exception’’ a insisté le patron de l’OIT en Côte d’Ivoire. Pour lui, ‘’la politique de l’emploi n’est pas une politique sectorielle mais une macro-économique’’.
‘’Il faut savoir que c’est le privé qui créé la richesse et l’emploi. Le rôle des ministères chargés de l’emploi n’est pas de créer des emplois, ils doivent avoir un rôle d’incubateur ou d’impulseur. Pour employer un jeune ou un diplômé on lui demande de l’expérience professionnelle. Le ministère peut jouer un rôle à ce niveau en promettant aux jeunes diplômés d’avoir des stages’’ a ajouté M . Haïdara
Il a par ailleurs suggéré que pour lutter contre le chômage et le problème de sans emploi, ‘’il faut accroître l’investissement dans l’agriculture et les infrastructures économiques’’. Pour lui, il faut ‘’donner un puissant élan à la formation et à l’apprentissage à tous les niveaux’’, et ‘’tout le gouvernement, syndicats et élus locaux doivent se mettre ensemble pour harmoniser leurs politiques pour résoudre les problèmes de l’emploi’’.
Selon le Président du Conseil économique, sociale, environnemental et culturel, Charle Koffi Diby, l’une des problématiques qui se pose comme un défi, dont la recherche de solution fait l’objet de diverses rencontres internationales aujourd’hui est la question de la jeunesse.
A ce propos, il a cité le prochain sommet des chefs d’Etats et l’UE et de l’Afrique ainsi que la rencontre des acteurs économiques et sociaux prévus en novembre 2017 à Abidjan et qui examineront la question de l’emploi jeune dans tous ses aspects.
APA