Abidjan - L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) organise depuis lundi à Grand-Bassam (Côte d’Ivoire), une formation d’une cinquantaine d’experts nationaux et internationaux de la surveillance et du laboratoire de 20 pays africains sur la surveillance environnementale des virus de la poliomyélite.
Cette formation qui est en fait une occasion de renforcer les capacités des pays pour une mise en œuvre effective de cette surveillance environnementale des poliovirus, vise à promouvoir la collaboration entre la surveillance et le laboratoire, a indiqué le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire, le Dr Jean Marie Vianny Yaméogo.
L’OMS considère la propagation internationale du poliovirus toujours comme une urgence de santé publique de portée mondiale.
C’est pourquoi, durant une douzaine de jours, les participants allieront la formation théorique et pratique sur l'identification de sites de collecte d'échantillons appropriés, les critères de validation des sites pour la collecte d'échantillons, la numérisation des voies d'épuration, la collecte, le stockage et l'expédition des échantillons, le traitement des échantillons pour la détection et l'identification des poliovirus.
Procédant à l’ouverture de la session, le représentant de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Joseph Niangué, directeur de cabinet adjoint, a estimé qu’il reste un défi majeur qui est de "maintenir ce statut en garantissant un bon niveau d’immunisation des populations et également à travers un système de surveillance capable de détecter à temps réel toute importation en vue d’une riposte de manière adéquate".
kp
Cette formation qui est en fait une occasion de renforcer les capacités des pays pour une mise en œuvre effective de cette surveillance environnementale des poliovirus, vise à promouvoir la collaboration entre la surveillance et le laboratoire, a indiqué le représentant de l’OMS en Côte d’Ivoire, le Dr Jean Marie Vianny Yaméogo.
L’OMS considère la propagation internationale du poliovirus toujours comme une urgence de santé publique de portée mondiale.
C’est pourquoi, durant une douzaine de jours, les participants allieront la formation théorique et pratique sur l'identification de sites de collecte d'échantillons appropriés, les critères de validation des sites pour la collecte d'échantillons, la numérisation des voies d'épuration, la collecte, le stockage et l'expédition des échantillons, le traitement des échantillons pour la détection et l'identification des poliovirus.
Procédant à l’ouverture de la session, le représentant de la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Joseph Niangué, directeur de cabinet adjoint, a estimé qu’il reste un défi majeur qui est de "maintenir ce statut en garantissant un bon niveau d’immunisation des populations et également à travers un système de surveillance capable de détecter à temps réel toute importation en vue d’une riposte de manière adéquate".
kp