Le stade Félix Houphouet Boigny a brillé de mille feux ce vendredi 21 juillet, à l’ouverture des huitièmes jeux de la Francophonie. Artistes et athlètes ont offert un spectacle exceptionnel au point que le public a été «bluffé ».
Jeux de lumières, défilés, prestations artistiques et feux d’artifice, ont constitué le cocktail extraordinaire, offert par le Comité d’organisation des huitièmes jeux de la Francophonie, piloté par le Gouverneur Beugre Mambe. Un défi, relevé avec maestria devant la belle brochette d’hommes
d’Etat, venus pour l’occasion et aussi, le président de l’Assemblée Nationale, Guillaume Soro, fraîchement rentré de Paris. Les présidents du Burkina, du Togo, du Mali, et du Niger, n’ont en aucun cas voulu bouder cet événement, qui a marqué les esprits en étalant de la plus belle des manières, la richesse culturelle et la créativité des artistes ivoiriens.
Le public a répondu présent, et un grand nombre a même été refoulé à l’extérieur du stade. Seuls les gradins, derrière le podium des jeux, a été à
souhait, laissé vide. La mobilisation était donc totale. Les jeunes sont venus des quatre coins de la ville d’Abidjan pour assister à l’ouverture de ces
jeux. «Nous sommes venus pour voir ce que la Côte d’Ivoire allait nous proposer à l’ouverture de ces jeux. Et nous repartons conquis. Vous avez là un grand pays » lançait un membre de la délégation du Cap Vert, à la sortie de la cérémonie. Un pays, la Côte d’Ivoire qui la veille, essuyait une attaque de personnes non identifiées, à l’école nationale de police et qui a quand même tenu à respecter ses engagements vis à vis du monde francophone. Une Côte d’Ivoire qui selon le député maire d’Abobo et conseiller du président de la république, Adama Tounkara, «ne sera jamais inquiétée et restera debout quoi qu’on fasse. Le pays va bien et c’est encore là, une autre démonstration » disait il a sa sortie du
stade. On aurait dit que le Felicia était acquis au président Alassane Ouattara et qu’on assistait à un meeting de soutien tellement les jeunes ont
scandé à n’en point finir le nom du chef de l’État.
«C’est notre président et nous sommes venus pour le soutenir. Peu importe ce qui adviendra, on est derriere lui » confiait à PoleAfrique dans l’euphorie, un jeune spectateur. Débuts réussis donc pour la Francophonie. 3600 athlètes, sur es 4000 annoncés au départ, ont répondu à
l’appel de ses huitièmes jeux, place à présent à la compétition.
Éric Coulibaly
Jeux de lumières, défilés, prestations artistiques et feux d’artifice, ont constitué le cocktail extraordinaire, offert par le Comité d’organisation des huitièmes jeux de la Francophonie, piloté par le Gouverneur Beugre Mambe. Un défi, relevé avec maestria devant la belle brochette d’hommes
d’Etat, venus pour l’occasion et aussi, le président de l’Assemblée Nationale, Guillaume Soro, fraîchement rentré de Paris. Les présidents du Burkina, du Togo, du Mali, et du Niger, n’ont en aucun cas voulu bouder cet événement, qui a marqué les esprits en étalant de la plus belle des manières, la richesse culturelle et la créativité des artistes ivoiriens.
Le public a répondu présent, et un grand nombre a même été refoulé à l’extérieur du stade. Seuls les gradins, derrière le podium des jeux, a été à
souhait, laissé vide. La mobilisation était donc totale. Les jeunes sont venus des quatre coins de la ville d’Abidjan pour assister à l’ouverture de ces
jeux. «Nous sommes venus pour voir ce que la Côte d’Ivoire allait nous proposer à l’ouverture de ces jeux. Et nous repartons conquis. Vous avez là un grand pays » lançait un membre de la délégation du Cap Vert, à la sortie de la cérémonie. Un pays, la Côte d’Ivoire qui la veille, essuyait une attaque de personnes non identifiées, à l’école nationale de police et qui a quand même tenu à respecter ses engagements vis à vis du monde francophone. Une Côte d’Ivoire qui selon le député maire d’Abobo et conseiller du président de la république, Adama Tounkara, «ne sera jamais inquiétée et restera debout quoi qu’on fasse. Le pays va bien et c’est encore là, une autre démonstration » disait il a sa sortie du
stade. On aurait dit que le Felicia était acquis au président Alassane Ouattara et qu’on assistait à un meeting de soutien tellement les jeunes ont
scandé à n’en point finir le nom du chef de l’État.
«C’est notre président et nous sommes venus pour le soutenir. Peu importe ce qui adviendra, on est derriere lui » confiait à PoleAfrique dans l’euphorie, un jeune spectateur. Débuts réussis donc pour la Francophonie. 3600 athlètes, sur es 4000 annoncés au départ, ont répondu à
l’appel de ses huitièmes jeux, place à présent à la compétition.
Éric Coulibaly