Daloa – L’Académie des sciences, des arts, des cultures d’Afrique et des diasporas africaines (ASCAD) a organisé, mardi à Daloa, sa deuxième journée de promotion scientifique pour susciter le goût de la recherche chez les étudiants des différentes universités ivoiriennes après la première à Abidjan en 2015.
Cette deuxième journée a pour objectif "de contribuer à former les chercheurs et les futurs chercheurs de Côte d’Ivoire", de sensibiliser les jeunes chercheurs afin qu’ils soient mieux orientés et de donner des conférences sur des recherches effectuées pour un meilleur développement de la Côte d’Ivoire, ont expliqué ses initiateurs dont la présidente de l’université Jean Lorougnon Guédé de Daloa.
Tidou Abiba Sanogo a fait remarquer que "le métier de chercheur semble en déclin", surtout que les étudiants préfèrent l’enseignement à la recherche, oubliant que "l’enseignement se nourrit de la recherche qui est le moteur du développement des nations."
Elle a invité les étudiants à saisir les opportunités de bourses dont dispose l’ASCAD pour la recherche.
Des conférences sur différents thèmes, tels que "la contribution de la médecine traditionnelle aux soins de santé en Côte d’ivoire", "l’impact de l’expansion des plantations d’anacarde et d’hévéa sur les cultures vivrières en Côte d’Ivoire", "orpaillage et terres cultivables" ainsi que "les parasites qui dévastent les cultures et les plantes spontanées" ont été exposées par des chercheurs des institutions académiques et du supérieur.
Créée le 1er septembre 2003, l’ASCAD est une structure rattachée à la présidence de la République. Sa mission est de contribuer au développement et à l’influence des sciences, des arts, de la culture africaine et celle de la diaspora, selon le secrétaire de l’Académie des sciences naturelles, le Pr Malan Kla.
Les membres de l’ASCAD sont des scientifiques, des écrivains, des philosophes, des inventeurs et des artistes.
(AIP)
Apk/kp
Cette deuxième journée a pour objectif "de contribuer à former les chercheurs et les futurs chercheurs de Côte d’Ivoire", de sensibiliser les jeunes chercheurs afin qu’ils soient mieux orientés et de donner des conférences sur des recherches effectuées pour un meilleur développement de la Côte d’Ivoire, ont expliqué ses initiateurs dont la présidente de l’université Jean Lorougnon Guédé de Daloa.
Tidou Abiba Sanogo a fait remarquer que "le métier de chercheur semble en déclin", surtout que les étudiants préfèrent l’enseignement à la recherche, oubliant que "l’enseignement se nourrit de la recherche qui est le moteur du développement des nations."
Elle a invité les étudiants à saisir les opportunités de bourses dont dispose l’ASCAD pour la recherche.
Des conférences sur différents thèmes, tels que "la contribution de la médecine traditionnelle aux soins de santé en Côte d’ivoire", "l’impact de l’expansion des plantations d’anacarde et d’hévéa sur les cultures vivrières en Côte d’Ivoire", "orpaillage et terres cultivables" ainsi que "les parasites qui dévastent les cultures et les plantes spontanées" ont été exposées par des chercheurs des institutions académiques et du supérieur.
Créée le 1er septembre 2003, l’ASCAD est une structure rattachée à la présidence de la République. Sa mission est de contribuer au développement et à l’influence des sciences, des arts, de la culture africaine et celle de la diaspora, selon le secrétaire de l’Académie des sciences naturelles, le Pr Malan Kla.
Les membres de l’ASCAD sont des scientifiques, des écrivains, des philosophes, des inventeurs et des artistes.
(AIP)
Apk/kp