En rangs serrés contre la révision constitutionnelle, dispersés lors des législatives, les leaders de l’opposition ivoirienne changent de stratégie. Objectif : enfin peser sur les débats.
«ADO, trop c’est trop ! » Banderoles en main, plus de 2 000 personnes défilent dans les rues d’Abidjan contre le projet de nouvelle Constitution du président ivoirien. Le 28 octobre 2016, à deux jours du référendum sur son adoption, la foule est compacte et déterminée. En tête de cortège, Aboudramane Sangaré, le leader de l’une des franges du Front populaire ivoirien (FPI), Mamadou Koulibaly, du parti Liberté et Démocratie pour la République (Lider), ou encore Kouadio Konan Bertin, du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), avancent côte à côte.... suite de l'article sur Jeune Afrique
«ADO, trop c’est trop ! » Banderoles en main, plus de 2 000 personnes défilent dans les rues d’Abidjan contre le projet de nouvelle Constitution du président ivoirien. Le 28 octobre 2016, à deux jours du référendum sur son adoption, la foule est compacte et déterminée. En tête de cortège, Aboudramane Sangaré, le leader de l’une des franges du Front populaire ivoirien (FPI), Mamadou Koulibaly, du parti Liberté et Démocratie pour la République (Lider), ou encore Kouadio Konan Bertin, du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), avancent côte à côte.... suite de l'article sur Jeune Afrique