Abidjan - Le groupe ivoirien Magic System formé dans les années 1996-97 a annoncé ce jeudi, quatre concerts en Côte d’Ivoire, dans le cadre de la tournée africaine dénommée Magic Tour, qui marque la célébration des 20 ans de carrière du groupe.
A’salfo, Goudé, Tino et Manadja veulent, à travers les concerts d’Abidjan et Bouaké, témoigner leur gratitude au peuple ivoirien qui les a vu naître et grandir. « La tournée des 20 ans de Magic System va démarrer en Côte d’Ivoire les 5 et 6 août à l’hôtel Ivoire à 20h, le 7 août au Palais de la culture de Treichville à 18h et le 25 décembre à Bouaké pour clore la tournée», a annoncé le lead-vocal du groupe, Traoré Salif dit Asalfo, par ailleurs ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco.
A côté de ces dates, plusieurs capitales africaines, Bamako, Niamey, Libreville, Conakry et Lomé vont vibrer aux sons des quatre magiciens. Avec trois disques de platine, 16 disques d’or et une carrière internationale bien remplie, les quatre "magiciens" rêvent de rester unis et de continuer à hisser haut le drapeau ivoirien et le "zouglou" à travers le monde. Surtout, ils rêvent de contribuer à la formation, à l’éducation et au bien-être des couches défavorisées de la société.
tls/fmo
A’salfo, Goudé, Tino et Manadja veulent, à travers les concerts d’Abidjan et Bouaké, témoigner leur gratitude au peuple ivoirien qui les a vu naître et grandir. « La tournée des 20 ans de Magic System va démarrer en Côte d’Ivoire les 5 et 6 août à l’hôtel Ivoire à 20h, le 7 août au Palais de la culture de Treichville à 18h et le 25 décembre à Bouaké pour clore la tournée», a annoncé le lead-vocal du groupe, Traoré Salif dit Asalfo, par ailleurs ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco.
A côté de ces dates, plusieurs capitales africaines, Bamako, Niamey, Libreville, Conakry et Lomé vont vibrer aux sons des quatre magiciens. Avec trois disques de platine, 16 disques d’or et une carrière internationale bien remplie, les quatre "magiciens" rêvent de rester unis et de continuer à hisser haut le drapeau ivoirien et le "zouglou" à travers le monde. Surtout, ils rêvent de contribuer à la formation, à l’éducation et au bien-être des couches défavorisées de la société.
tls/fmo