Abidjan (Côte d’Ivoire) - La ministre ivoirienne du Plan et du développement, Kaba Nialé, a estimé jeudi que le maillon suivi-évaluation restait « faible » dans la gouvernance socio-économique du pays, lors d’un atelier sur la ‘’Revue finale de la Gestion axée sur les résultats de développement’’, à Abidjan.
Bien que des programmes de développement soient élaborés, « la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des politiques publiques n’ont pas toujours suivi les règles et les principes » de l’approche sur la Gestion axée sur les résultats de développement (GRD), a affirmé Mme Kaba Nialé dans un discours à l’ouverture des travaux.
« Les questions de responsabilité n’ont pas souvent été adressées selon cette approche de sorte que le maillon suivi-évaluation reste le maillon le plus faible de la chaîne prospective +planification, programmation, budgétisation, suivi-évaluation+ malgré les efforts de renforcement de cette chaîne », a-t-elle ajouté.
En vue de pallier ces insuffisances et améliorer durablement l’efficacité de la gouvernance socio-économique, la Côte d’Ivoire a adhéré en 2013 à l’initiative de la Gestion axée sur les résultats lancée par la Communauté africaine des pratiques pour la gestion axée sur les résultats.
Le pays, à l’instar de la plupart des Etats africains, a élaboré des programmes de politiques tels que la Stratégie de réduction de la pauvreté, le Plan national de développement et les documents de programmation pluriannuel des dépenses en utilisant l’approche de la gestion axée sur les résultats.
Cet atelier devrait permettre d’évaluer les actions publiques du pays en matière de politiques de gouvernance socio-économique après cinq années de mise en œuvre de la feuille de route des pratiques de la Gestion axée sur les résultats de développement.
Pour accompagner le gouvernement ivoirien, la Banque africaine de développement (BAD) a accordé un appui financier de 168,77 millions de Fcfa (300.000 dollars US) à la Côte d’Ivoire après son adhésion en juin 2013.
PIG/ap/ls/APA
Bien que des programmes de développement soient élaborés, « la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation des politiques publiques n’ont pas toujours suivi les règles et les principes » de l’approche sur la Gestion axée sur les résultats de développement (GRD), a affirmé Mme Kaba Nialé dans un discours à l’ouverture des travaux.
« Les questions de responsabilité n’ont pas souvent été adressées selon cette approche de sorte que le maillon suivi-évaluation reste le maillon le plus faible de la chaîne prospective +planification, programmation, budgétisation, suivi-évaluation+ malgré les efforts de renforcement de cette chaîne », a-t-elle ajouté.
En vue de pallier ces insuffisances et améliorer durablement l’efficacité de la gouvernance socio-économique, la Côte d’Ivoire a adhéré en 2013 à l’initiative de la Gestion axée sur les résultats lancée par la Communauté africaine des pratiques pour la gestion axée sur les résultats.
Le pays, à l’instar de la plupart des Etats africains, a élaboré des programmes de politiques tels que la Stratégie de réduction de la pauvreté, le Plan national de développement et les documents de programmation pluriannuel des dépenses en utilisant l’approche de la gestion axée sur les résultats.
Cet atelier devrait permettre d’évaluer les actions publiques du pays en matière de politiques de gouvernance socio-économique après cinq années de mise en œuvre de la feuille de route des pratiques de la Gestion axée sur les résultats de développement.
Pour accompagner le gouvernement ivoirien, la Banque africaine de développement (BAD) a accordé un appui financier de 168,77 millions de Fcfa (300.000 dollars US) à la Côte d’Ivoire après son adhésion en juin 2013.
PIG/ap/ls/APA