150 volontaires, vont et viennent pour enlever la moindre feuille qui traîne
Les sites retenus pour les Jeux de la Francophonie sont maintenus dans un état de propreté impeccable. Les stades accueillant ces joutes sportives tels que le Palais des sports de Treichville, le village des partenaires où exposent les entreprises venues de tous les pays composant l’espace francophone et où il y a les restaurants, etc., tout est dans un état irréprochable.
Pas de feuille d’emballage qui traîne, pas de pot de yaourt jeté négligemment comme on en voit tant dans les rues d’Abidjan. Ce tour de force est l’oeuvre de l’Agence nationale de la propreté urbaine (Anasur) qui a mobilisé une équipe pour le nettoyage de tous les sites de ces jeux.
Cent cinquante volontaires placés sous la responsabilité d’Eddie Konan, chef de service à la direction de la logistique et de la coordination technique de l’Anasur, vont et viennent pour enlever la moindre feuille qui traîne ou pour astiquer vestiaires et toilettes.
Dès 5 heures du matin, un premier groupe est à pied d’oeuvre pour finir son service à 13 heures. Le second groupe prend la relève à 13 heures pour ne s’arrêter que quand le dernier sportif ou le dernier spectateur quitte les lieux où se déroulent les épreuves sportives ou culturelles. Ainsi, toutes les dix minutes, vestiaires et toilettes passent à la serpillière et les papiers toilettes changent également. Un coffre à ordure est posé sur chaque site pour recevoir les ordures collectées.
Trois entreprises de collecte s’occupent de les vider tous les soirs. L’Anasur s’est fixé comme objectif d’assurer la salubrité des sites des jeux du début à la fin. Cet objectif est en passe d’être atteint au dire d’Eddie Konan qui soutient que tous les visiteurs repartent satisfaits de l’état de propreté des lieux.
« Les moyens ont été dégagés pour ce travail. Si des moyens conséquents sont mis à la disposition de l’Anasur, c’est toute la ville d’Abidjan qui sera dans le même état de propreté tous les jours », plaide-t-il en guise de conclusion.
THÉODORE SINZÉ
Les sites retenus pour les Jeux de la Francophonie sont maintenus dans un état de propreté impeccable. Les stades accueillant ces joutes sportives tels que le Palais des sports de Treichville, le village des partenaires où exposent les entreprises venues de tous les pays composant l’espace francophone et où il y a les restaurants, etc., tout est dans un état irréprochable.
Pas de feuille d’emballage qui traîne, pas de pot de yaourt jeté négligemment comme on en voit tant dans les rues d’Abidjan. Ce tour de force est l’oeuvre de l’Agence nationale de la propreté urbaine (Anasur) qui a mobilisé une équipe pour le nettoyage de tous les sites de ces jeux.
Cent cinquante volontaires placés sous la responsabilité d’Eddie Konan, chef de service à la direction de la logistique et de la coordination technique de l’Anasur, vont et viennent pour enlever la moindre feuille qui traîne ou pour astiquer vestiaires et toilettes.
Dès 5 heures du matin, un premier groupe est à pied d’oeuvre pour finir son service à 13 heures. Le second groupe prend la relève à 13 heures pour ne s’arrêter que quand le dernier sportif ou le dernier spectateur quitte les lieux où se déroulent les épreuves sportives ou culturelles. Ainsi, toutes les dix minutes, vestiaires et toilettes passent à la serpillière et les papiers toilettes changent également. Un coffre à ordure est posé sur chaque site pour recevoir les ordures collectées.
Trois entreprises de collecte s’occupent de les vider tous les soirs. L’Anasur s’est fixé comme objectif d’assurer la salubrité des sites des jeux du début à la fin. Cet objectif est en passe d’être atteint au dire d’Eddie Konan qui soutient que tous les visiteurs repartent satisfaits de l’état de propreté des lieux.
« Les moyens ont été dégagés pour ce travail. Si des moyens conséquents sont mis à la disposition de l’Anasur, c’est toute la ville d’Abidjan qui sera dans le même état de propreté tous les jours », plaide-t-il en guise de conclusion.
THÉODORE SINZÉ