Le tout nouveau président de la Jeunesse de l’Union pour la Côte d’Ivoire (JUPCI) est Kré Brou Thomas. Il a été élu avec 66% des voix suivi des candidats Ekra Kobenan (30% des voix), et Iboye Franck (3%), à l’issue d’une assemblée générale élective qui a eu lieu, samedi 29 juillet 2017, au siège dudit parti à Cocody-Vallon. Une AG qui a enregistré la présence des présidents de jeunesse du Rhdp.
Le nouveau président s’est dit satisfait du résultat des élections. Pour Kré Brou Thomas, tout travail paye. Et un jeune qui fait de la politique, à l’en croire, doit se donner les moyens : « Il faut être sur le terrain. La jeunesse m’a donné ce pouvoir, mais je crois qu’il appartient en réalité à tous, au parti et à tous ceux qui travaillent pour son avancement. Mes adversaires n’ont pas démérité. Nous allons tous travailler ensemble pour booster le parti afin qu’il devienne grand et fort ».
Dans son adresse aux militants de l’UPCI, il a salué le nouveau président du parti, Me Brahima Soro, et appelé ceux qui avaient déserté ‘’la maison’’ à y revenir : « J’appelle tous ceux qui se sont découragés lors du départ du premier président, Gnamien Konan, à revenir à la maison. Ils y ont leur place. C’est ensemble que nous reconstruirons tout ».
À l’ouverture du congrès, Me Brahima Soro a rassuré les uns et les autres quant à la transparence du scrutin : « Nous avions tenu une AG élective en 2009, et malheureusement un an après, le président élu avait été rappelé à Dieu par la suite d’un tragique accident. Et depuis lors, nous avons procédé par des nominations. Croyez-moi, rien n’a été fait pour privilégier un candidat au détriment de l’autre. Ils sont tous UPCI. Tous des jeunes de grandes valeurs que nous connaissons. Nous n’avons pas voulu avoir de préférence pour qui que ce soit. Nous souhaitons un exercice transparent. Il n’y aura pas de vaincu à l’issue de ce scrutin. Il y aura un seul vainqueur qui sera le parti ».
Le nouveau président de l’UPCI élu le 8 juillet dernier, a exhorté sa jeunesse au travail. Pour lui, il faut surtout éviter la politique de quémandeur : « À un moment donné, votre force du terrain doit pouvoir demander pour vous. (…) Si vous vous battez, vous aurez des résultats. Si vous attendez que tout, vous vienne du président de la jeunesse ou de celui du parti, vous serez très vite déçu ».
Cette deuxième assemblée élective de la jeunesse du parti, après celle de 2008, s’est terminée dans une ambiance festive.
Afrikipresse
Le nouveau président s’est dit satisfait du résultat des élections. Pour Kré Brou Thomas, tout travail paye. Et un jeune qui fait de la politique, à l’en croire, doit se donner les moyens : « Il faut être sur le terrain. La jeunesse m’a donné ce pouvoir, mais je crois qu’il appartient en réalité à tous, au parti et à tous ceux qui travaillent pour son avancement. Mes adversaires n’ont pas démérité. Nous allons tous travailler ensemble pour booster le parti afin qu’il devienne grand et fort ».
Dans son adresse aux militants de l’UPCI, il a salué le nouveau président du parti, Me Brahima Soro, et appelé ceux qui avaient déserté ‘’la maison’’ à y revenir : « J’appelle tous ceux qui se sont découragés lors du départ du premier président, Gnamien Konan, à revenir à la maison. Ils y ont leur place. C’est ensemble que nous reconstruirons tout ».
À l’ouverture du congrès, Me Brahima Soro a rassuré les uns et les autres quant à la transparence du scrutin : « Nous avions tenu une AG élective en 2009, et malheureusement un an après, le président élu avait été rappelé à Dieu par la suite d’un tragique accident. Et depuis lors, nous avons procédé par des nominations. Croyez-moi, rien n’a été fait pour privilégier un candidat au détriment de l’autre. Ils sont tous UPCI. Tous des jeunes de grandes valeurs que nous connaissons. Nous n’avons pas voulu avoir de préférence pour qui que ce soit. Nous souhaitons un exercice transparent. Il n’y aura pas de vaincu à l’issue de ce scrutin. Il y aura un seul vainqueur qui sera le parti ».
Le nouveau président de l’UPCI élu le 8 juillet dernier, a exhorté sa jeunesse au travail. Pour lui, il faut surtout éviter la politique de quémandeur : « À un moment donné, votre force du terrain doit pouvoir demander pour vous. (…) Si vous vous battez, vous aurez des résultats. Si vous attendez que tout, vous vienne du président de la jeunesse ou de celui du parti, vous serez très vite déçu ».
Cette deuxième assemblée élective de la jeunesse du parti, après celle de 2008, s’est terminée dans une ambiance festive.
Afrikipresse