Abidjan – Le ministre de l’Industrie et des Mines, Jean Claude Brou, exhorte les agriculteurs du Sud-Comoé (Sud-Est) à mettre l’accent sur la productivité, en vue d’approvisionner de façon adéquate les unités de transformation qui viendront s’installer dans la région.
S’exprimant samedi au stade d’Aboisso, en sa qualité de parrain de la cérémonie de clôture de la 6ème édition des Journées de l’Administration agricole délocalisée (JAAD 2017), le ministre a rappelé que cette région qui produit une diversité de cultures jouit en outre d’un positionnement idéal par rapport à Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire.
Cette situation constitue donc un atout pour le Sud-Comoé, ce qui explique aussi le nombre d’unités de transformation du palmier à huile, d’hévéa et de fruits.
Tout en remerciant le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, pour le choix de cette région dans le cadre des JAAD 2017, Jean Claude Brou a souligné que le Plan national de développement (PND 2016-2020) met l’accent sur l’investissement public et le développement de l’investissement privé dans les secteurs agricole et industriel.
« Le Gouvernement a fait de l’industrialisation, l’un des piliers du développement », a relevé M. Brou, tablant sur une production plus accrue des cultures clés comme le cacao, l’hévéa, le palmier à huile.
Si au niveau du cacao l’Etat veut porter en 2020 à 50 % le taux de transformation locale (actuellement de 35%), les réflexions sont en cours pour favoriser une deuxième transformation de l’hévéa, a indiqué le ministre de l’Industrie. Cette ambition concerne également les fruits (ananas, mangue…) mais aussi des cultures vivrières comme le manioc.
La 6ème édition des JAAD s’est tenue du 27 au 29 juillet dans la région du Sud-Comoé. Elle a porté sur les réformes des filières palmier à huile et hévéa, et le foncier rural.
cmas
S’exprimant samedi au stade d’Aboisso, en sa qualité de parrain de la cérémonie de clôture de la 6ème édition des Journées de l’Administration agricole délocalisée (JAAD 2017), le ministre a rappelé que cette région qui produit une diversité de cultures jouit en outre d’un positionnement idéal par rapport à Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire.
Cette situation constitue donc un atout pour le Sud-Comoé, ce qui explique aussi le nombre d’unités de transformation du palmier à huile, d’hévéa et de fruits.
Tout en remerciant le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, pour le choix de cette région dans le cadre des JAAD 2017, Jean Claude Brou a souligné que le Plan national de développement (PND 2016-2020) met l’accent sur l’investissement public et le développement de l’investissement privé dans les secteurs agricole et industriel.
« Le Gouvernement a fait de l’industrialisation, l’un des piliers du développement », a relevé M. Brou, tablant sur une production plus accrue des cultures clés comme le cacao, l’hévéa, le palmier à huile.
Si au niveau du cacao l’Etat veut porter en 2020 à 50 % le taux de transformation locale (actuellement de 35%), les réflexions sont en cours pour favoriser une deuxième transformation de l’hévéa, a indiqué le ministre de l’Industrie. Cette ambition concerne également les fruits (ananas, mangue…) mais aussi des cultures vivrières comme le manioc.
La 6ème édition des JAAD s’est tenue du 27 au 29 juillet dans la région du Sud-Comoé. Elle a porté sur les réformes des filières palmier à huile et hévéa, et le foncier rural.
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