Les Forces nouvelles, mouvement de l'ex-rébellion (2002-2011) s'inscrivent dans le processus de ''repentance, de pardon et de réconciliation'', a annoncé Félicien Sékongo, secrétaire général et porte-parole de l’Amicale des Forces nouvelles (AFN) portée, jeudi, sur les fonts baptismaux.
Selon Félicien Sékongo qui co-animait une conférence de presse avec l'ex-député Ignace Gnézéré, ''c'est un truisme de dire que si la Côte d'Ivoire n'a pu échapper aux violences ayant entraîné des dégâts et des pertes en vies humaines, suite à la crise post-électorale, la responsabilité ne saurait être du fait d'un seul groupe''.
''Tous les Ivoiriens ont chacun, une part de responsabilité que chaque entité devrait reconnaître et assumer sans fioriture'', a plaidé M. Sékongo selon qui ''l'Ivoirien a été à la fois loup et agneau''.
C'est pourquoi, a-t-il expliqué, ''il est de droit et d'obligation'' pour les Forces nouvelles qui ont ''compté dans l'histoire récente du pays'' de se retrouver pour ‘’qu'unies elles participent à ce nouvel élan'' initié par le président Guillaume Soro pour une ''réconciliation véritable, fiable et viable''.
''Les Forces nouvelles veulent prendre leur place dans ce processus de repentance, de pardon et de réconciliation et entendent faire de cela une priorité'', a dit Félicien Sékongo.
Il s'agira, selon M. Sékongo, pour ''les cadres et sympathisants des Forces nouvelles au sein de l'AFN de mener, aux côtés des familles politiques traditionnelles la bataille de la sauvegarde et de la consolidation des acquis démocratiques en Côte d'Ivoire''.
A cet effet, au nom des siens et à la suite de Guillaume Soro, il a ''humblement demandé pardon à toute la Nation, à l'ensemble des victimes civiles et militaires provoquées par la crise née de l'engagement des Forces nouvelles''.
Par ailleurs, Félicien Sékongo a, pour ''la paix et la cohésion'' exhorté ''le président de la République, président de tous les Ivoiriens sans exclusive à œuvrer pour que tous nos compatriotes incarcérés ici et ailleurs du fait des crises politico-militaires recouvrent la liberté''.
HS/ls/APA
Selon Félicien Sékongo qui co-animait une conférence de presse avec l'ex-député Ignace Gnézéré, ''c'est un truisme de dire que si la Côte d'Ivoire n'a pu échapper aux violences ayant entraîné des dégâts et des pertes en vies humaines, suite à la crise post-électorale, la responsabilité ne saurait être du fait d'un seul groupe''.
''Tous les Ivoiriens ont chacun, une part de responsabilité que chaque entité devrait reconnaître et assumer sans fioriture'', a plaidé M. Sékongo selon qui ''l'Ivoirien a été à la fois loup et agneau''.
C'est pourquoi, a-t-il expliqué, ''il est de droit et d'obligation'' pour les Forces nouvelles qui ont ''compté dans l'histoire récente du pays'' de se retrouver pour ‘’qu'unies elles participent à ce nouvel élan'' initié par le président Guillaume Soro pour une ''réconciliation véritable, fiable et viable''.
''Les Forces nouvelles veulent prendre leur place dans ce processus de repentance, de pardon et de réconciliation et entendent faire de cela une priorité'', a dit Félicien Sékongo.
Il s'agira, selon M. Sékongo, pour ''les cadres et sympathisants des Forces nouvelles au sein de l'AFN de mener, aux côtés des familles politiques traditionnelles la bataille de la sauvegarde et de la consolidation des acquis démocratiques en Côte d'Ivoire''.
A cet effet, au nom des siens et à la suite de Guillaume Soro, il a ''humblement demandé pardon à toute la Nation, à l'ensemble des victimes civiles et militaires provoquées par la crise née de l'engagement des Forces nouvelles''.
Par ailleurs, Félicien Sékongo a, pour ''la paix et la cohésion'' exhorté ''le président de la République, président de tous les Ivoiriens sans exclusive à œuvrer pour que tous nos compatriotes incarcérés ici et ailleurs du fait des crises politico-militaires recouvrent la liberté''.
HS/ls/APA