Dabou - Le festival des arts et cultures de l'odjoukrou dénommé « Yaye » s’est achevé samedi, à Dabou, en présence du ministre du Tourisme Siandou Fofana qui, en reconnaissant l’apport non négligeable de cette ville dans le développement du pays, a affirmé par conséquent que la capitale des Grands ponts « est en droit de réclamer de la Côte d’Ivoire sa part d’investissements nécessaires à son émergence ».
Fort de ce constat, le ministre a décliné un chapelet d’actions à venir, qui mis en œuvre offriront au Lèboutou des perspectives touristiques favorables.
« Je prends l’engagement de faire en sorte que dans la stratégie de développement du tourisme en Côte d’Ivoire, nous inscrivions en lettres d’or les projets de Dabou et faire en sorte qu’il y ait une zone touristique dédiée avec une vocation touristique et hôtelière. Et avec l’aide d’Essis Emmanuel président des Bodjl (classe d’âge initiatrice du Yaye festival), DG du CEPICI et moi-même, nous puissions mettre en place une fiscalité favorable aux investissements des entreprises », a-t-il promis.
Poursuivant son intervention, le premier responsable du tourisme s’est engagé pour la deuxième édition à mobiliser les sponsors pour accompagner le « Yaye » sur une période de cinq ans. Toutefois, il a invité les cadres à l’entente pour libérer leur génie créateur au service du bien-être de leur région qui, selon lui, doit impérativement sortir de sa léthargie.
«Les jours à venir, nous allons sérieusement nous pencher sur le développement de Dabou et son tourisme, avec l’aide du maire et de tous les nombreux cadres dont regorge le Lèboutou. Je suis convaincu que nous allons réussir », a affirmé M.Siandou.
La première édition du Yaye festival des arts et cultures de l'odjoukrou s’est achevée sur l’artère principale de Dabou avec la grande parade guerrière des villages, faite de danses, chants guerriers, démonstration de puissance, accessoires traditionnels et tenues d’apparat.
bec/amak/fmo
Fort de ce constat, le ministre a décliné un chapelet d’actions à venir, qui mis en œuvre offriront au Lèboutou des perspectives touristiques favorables.
« Je prends l’engagement de faire en sorte que dans la stratégie de développement du tourisme en Côte d’Ivoire, nous inscrivions en lettres d’or les projets de Dabou et faire en sorte qu’il y ait une zone touristique dédiée avec une vocation touristique et hôtelière. Et avec l’aide d’Essis Emmanuel président des Bodjl (classe d’âge initiatrice du Yaye festival), DG du CEPICI et moi-même, nous puissions mettre en place une fiscalité favorable aux investissements des entreprises », a-t-il promis.
Poursuivant son intervention, le premier responsable du tourisme s’est engagé pour la deuxième édition à mobiliser les sponsors pour accompagner le « Yaye » sur une période de cinq ans. Toutefois, il a invité les cadres à l’entente pour libérer leur génie créateur au service du bien-être de leur région qui, selon lui, doit impérativement sortir de sa léthargie.
«Les jours à venir, nous allons sérieusement nous pencher sur le développement de Dabou et son tourisme, avec l’aide du maire et de tous les nombreux cadres dont regorge le Lèboutou. Je suis convaincu que nous allons réussir », a affirmé M.Siandou.
La première édition du Yaye festival des arts et cultures de l'odjoukrou s’est achevée sur l’artère principale de Dabou avec la grande parade guerrière des villages, faite de danses, chants guerriers, démonstration de puissance, accessoires traditionnels et tenues d’apparat.
bec/amak/fmo