Abidjan - "Vivre, rien que ça", une œuvre autobiographique retraçant l’expérience personnelle de Sandia Fofana, née en Côte d'Ivoire et devenue « esclave » de son mari en France, a été présentée samedi par son auteur lors d’une cérémonie de dédicace organisée à la Rotonde du Plateau (Abidjan).
"La jeune écrivaine analphabète au passé, à travers +Vivre, rien que ça+, un récit de 158 pages paru aux éditions L’encre bleue, raconte avec courage son parcours semé de drames, de violences et d’humiliations", a expliqué Sandia Fofana.
Dans ce récit, l’auteur dévoile une triste réalité vécue par de nombreuses femmes victimes d’hommes sans scrupules et n’ayant aucun respect pour leurs épouses.
Son combat pour retrouver sa dignité, sa liberté et son bonheur mérite admiration et respect, a estimé le public venu nombreux découvrir lors de cette cérémonie dédicace en écoutant Sandia Fofana s’exprimer.
Pour l’auteur de l’œuvre, "Vivre, rien que ça", en brisant le silence, espère redonner espoir et courage à toutes celles qui qui vivent un enfer auprès d’un mari violent.
tg/cmas
"La jeune écrivaine analphabète au passé, à travers +Vivre, rien que ça+, un récit de 158 pages paru aux éditions L’encre bleue, raconte avec courage son parcours semé de drames, de violences et d’humiliations", a expliqué Sandia Fofana.
Dans ce récit, l’auteur dévoile une triste réalité vécue par de nombreuses femmes victimes d’hommes sans scrupules et n’ayant aucun respect pour leurs épouses.
Son combat pour retrouver sa dignité, sa liberté et son bonheur mérite admiration et respect, a estimé le public venu nombreux découvrir lors de cette cérémonie dédicace en écoutant Sandia Fofana s’exprimer.
Pour l’auteur de l’œuvre, "Vivre, rien que ça", en brisant le silence, espère redonner espoir et courage à toutes celles qui qui vivent un enfer auprès d’un mari violent.
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