Abidjan – « Je suis et je reste à la tête du Mouvement des forces d’avenir (MFA) », a déclaré, dimanche, l’ancien ministre Anzoumana Moutayé, au siège de son parti, à Cocody Angré lors d’une conférence de presse tenue en présence des principaux leaders du parti dont le vice-président Atta Kouablan.
M. Moutayé a fait cette déclaration suite à une annonce « illégale », « non conforme » selon les textes, « une forfaiture », condamnée par le représentant des délégués, Angui Pascal, le président des jeunes, Kouakou Boko, la porte-parole des femmes, Ali Bintou Kaba, ou encore le représentant des enseignants à cette conférence convoquée d’urgence après des déclarations de « dissidents » lancés samedi et appelant à la destitution du président Moutayé.
Des sanctions sont réclamées contre des militants qui n’ont pas respecté les textes du parti à travers leurs propos qui nuisent à l’image du parti et pourraient désorienter les militants et sympathisants.
« J’ai été informé par un SMS de Tanoh Fidèle d’une réunion convoquée par Siaka Ouattara en dehors des procédures et textes légaux et qui me suspend de la direction du parti. Les militants et sympathisants ne sauraient tolérer cette énième forfaiture trahissant les humeurs de militants complexés en mal de publicité », a fustigé Anzoumana Moutayé.
Le successeur du fondateur du parti, Anaky Kobenan, a déploré les méthodes de ses détracteurs qui ne lui ont pas encore signifié les actes de sa destitution, une résolution qui ne respecte pas le fond et les formes des règles « en dehors du siège du parti ».
« C’est du pur vent. Je demeure à mon poste. Nous sommes aux commandes avec le soutien des militants », a-t-il clamé en présence de nombreux militants.
Anzoumana Moutayé a succédé à Anaky Kobenan, par intérrim, en avril 2015, à un congrès organisé en l’absence du fondateur. Il a été confirmé par un congrès extraordinaire en 2016, ce que conteste M. Anaky.
aaa/cmas
M. Moutayé a fait cette déclaration suite à une annonce « illégale », « non conforme » selon les textes, « une forfaiture », condamnée par le représentant des délégués, Angui Pascal, le président des jeunes, Kouakou Boko, la porte-parole des femmes, Ali Bintou Kaba, ou encore le représentant des enseignants à cette conférence convoquée d’urgence après des déclarations de « dissidents » lancés samedi et appelant à la destitution du président Moutayé.
Des sanctions sont réclamées contre des militants qui n’ont pas respecté les textes du parti à travers leurs propos qui nuisent à l’image du parti et pourraient désorienter les militants et sympathisants.
« J’ai été informé par un SMS de Tanoh Fidèle d’une réunion convoquée par Siaka Ouattara en dehors des procédures et textes légaux et qui me suspend de la direction du parti. Les militants et sympathisants ne sauraient tolérer cette énième forfaiture trahissant les humeurs de militants complexés en mal de publicité », a fustigé Anzoumana Moutayé.
Le successeur du fondateur du parti, Anaky Kobenan, a déploré les méthodes de ses détracteurs qui ne lui ont pas encore signifié les actes de sa destitution, une résolution qui ne respecte pas le fond et les formes des règles « en dehors du siège du parti ».
« C’est du pur vent. Je demeure à mon poste. Nous sommes aux commandes avec le soutien des militants », a-t-il clamé en présence de nombreux militants.
Anzoumana Moutayé a succédé à Anaky Kobenan, par intérrim, en avril 2015, à un congrès organisé en l’absence du fondateur. Il a été confirmé par un congrès extraordinaire en 2016, ce que conteste M. Anaky.
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