« Nous demandons au président Affi N’Guessan et au doyen Abou Drahamane Sangaré d’opter pour la paix des braves. Il y a un moment pour faire la guerre, mais il y a aussi un moment pour faire la paix. Dans toute famille, il existe ce genre de querelles. Mais, à un moment donné, il faut faire preuve de dépassement ; il faut plutôt regarder l’intérêt collectif », voilà l’appel à l’unité au FPI lancé, hier, par Mikaël Zadi Dassi, président de la Fédération des jeunes socialistes de Côte d’Ivoire, au cours d’une conférence de presse tenue à Cocody Vallon.
Le conférencier a fait savoir que la Fédération des jeunes socialistes (Fjs) est un mouvement politique de gauche, d’idéologie socialiste, allié naturel du Front Populaire ivoirien, parti créé par le président Gbagbo. « Le FPI est le baromètre de la démocratie. C’est ce parti qui a lutté pour l’instauration du multipartisme dans ce pays », a-t-il indiqué. Estimant que la paix dans ce parti est vivement souhaitée. « Avec cette division, ce parti ne peut pas prendre toute sa place dans le combat pour la démocratisation de la Côte d’Ivoire », a soutenu Mikael Zadi Dassi.
Le président de la Fédération des jeunes socialistes de Côte d’Ivoire a salué l’implication personnelle du président Gbagbo dans la résolution de la crise au FPI qui dure depuis 3 ans. «Qu’on le veuille ou non, le président Gbagbo est l’âme du parti dont il est le fondateur. Donc voir sa formation politique divisée, nous ne pensons pas que ça lui fasse plaisir. S’il décide de s’impliquer lui-même dans la résolution de cette crise, nous pensons que cette initiative est à saluer. Nous avions très tôt souhaité cette implication. Il y avait ce même problème au Cojep. Mais, promptement, le ministre Charles Blé Goudé s’est impliqué résolument dans sa résolution. Mais il n’est jamais tard pour mieux faire. Nous espérons qu’à travers son implication, l’on trouvera une solution à la crise que vit actuellement le parti », s’est-il félicité au passage.
Le président des jeunes socialistes n’a pas manqué de faire des recommandations aux militants du Fpi : «Le conseil que nous pouvons donner aux militants du Fpi, c’est d’être d’abord des acteurs de cette réconciliation, car c’est à eux de forcer la main aux dirigeants de leur parti. Aucun parti ne peut gagner de batailles importantes s’il est divisé. Les militants sont la clé de voûte de cette réconciliation. Les cadres, eux, se plieront à leurs décisions».
Didier ékanza
Stagiaire
Le conférencier a fait savoir que la Fédération des jeunes socialistes (Fjs) est un mouvement politique de gauche, d’idéologie socialiste, allié naturel du Front Populaire ivoirien, parti créé par le président Gbagbo. « Le FPI est le baromètre de la démocratie. C’est ce parti qui a lutté pour l’instauration du multipartisme dans ce pays », a-t-il indiqué. Estimant que la paix dans ce parti est vivement souhaitée. « Avec cette division, ce parti ne peut pas prendre toute sa place dans le combat pour la démocratisation de la Côte d’Ivoire », a soutenu Mikael Zadi Dassi.
Le président de la Fédération des jeunes socialistes de Côte d’Ivoire a salué l’implication personnelle du président Gbagbo dans la résolution de la crise au FPI qui dure depuis 3 ans. «Qu’on le veuille ou non, le président Gbagbo est l’âme du parti dont il est le fondateur. Donc voir sa formation politique divisée, nous ne pensons pas que ça lui fasse plaisir. S’il décide de s’impliquer lui-même dans la résolution de cette crise, nous pensons que cette initiative est à saluer. Nous avions très tôt souhaité cette implication. Il y avait ce même problème au Cojep. Mais, promptement, le ministre Charles Blé Goudé s’est impliqué résolument dans sa résolution. Mais il n’est jamais tard pour mieux faire. Nous espérons qu’à travers son implication, l’on trouvera une solution à la crise que vit actuellement le parti », s’est-il félicité au passage.
Le président des jeunes socialistes n’a pas manqué de faire des recommandations aux militants du Fpi : «Le conseil que nous pouvons donner aux militants du Fpi, c’est d’être d’abord des acteurs de cette réconciliation, car c’est à eux de forcer la main aux dirigeants de leur parti. Aucun parti ne peut gagner de batailles importantes s’il est divisé. Les militants sont la clé de voûte de cette réconciliation. Les cadres, eux, se plieront à leurs décisions».
Didier ékanza
Stagiaire