Abidjan - Les imams ont lancé un appel aux fidèles musulmans pour la paix, la réconciliation, le développement et le respect de l’autorité dans leurs différents sermons lors de la grande prière de la Tabaski célébrée vendredi dans plusieurs localités du pays.
L'imam de la mosquée de Tabou (sud-ouest), El hadj Mahamadou Touré, a demandé à Dieu d'éclairer les autorités nationales et locales afin qu'elles s'entendent et œuvrent pour la paix et le développement.
A Grand-Bassam (sud), l'imam de la mosquée Fatima Zara, Drame Moussa, a mis en mission toutes les mamans à faire renoncer leurs enfants aux pratiques de violence et de l'immigration clandestine, à les éduquer, à leur faire renoncer au terrorisme et à s’accepter les uns les autres pour une cohésion sociale et pour la paix.
Le responsable du COSIM à Anyama (Banlieue d’Abidjan), El Hadj Moussa Traoré, a exhorté les jeunes musulmans à plus de responsabilité et de cohésion à Anyama. A Tiassalé (sud), dans son adresse aux musulmans et aux autorités, l'imam Aboubacar Barro, au nom du bureau local du Conseil supérieur des imams (COSIM), a demandé aux fidèles de profiter de cette célébration pour partager leurs offrandes avec les veuves, les orphelins et avec les nécessités, mais aussi avec leurs frères des autres communautés religieuses.
L’imam de la grande mosquée d’Alépé (sud), Amadou Ouattara, dans son sermon, a exhorté les fidèles musulmans au respect des aux autorités locales car, a-t-il précisé, "c’est Dieu qui établit l’autorité".
Pour l'imam central de Sikensi, Diaby Moustapha, le respect aux personnalités garantit la paix et la cohésion sociale.
Enfin, la communauté musulmane du département de Tengréla (nord) a reçu, à l'occasion de la fête, 50 bœufs de la part de l’ONG turque CANSUYU.
L'imam de la mosquée de Tabou (sud-ouest), El hadj Mahamadou Touré, a demandé à Dieu d'éclairer les autorités nationales et locales afin qu'elles s'entendent et œuvrent pour la paix et le développement.
A Grand-Bassam (sud), l'imam de la mosquée Fatima Zara, Drame Moussa, a mis en mission toutes les mamans à faire renoncer leurs enfants aux pratiques de violence et de l'immigration clandestine, à les éduquer, à leur faire renoncer au terrorisme et à s’accepter les uns les autres pour une cohésion sociale et pour la paix.
Le responsable du COSIM à Anyama (Banlieue d’Abidjan), El Hadj Moussa Traoré, a exhorté les jeunes musulmans à plus de responsabilité et de cohésion à Anyama. A Tiassalé (sud), dans son adresse aux musulmans et aux autorités, l'imam Aboubacar Barro, au nom du bureau local du Conseil supérieur des imams (COSIM), a demandé aux fidèles de profiter de cette célébration pour partager leurs offrandes avec les veuves, les orphelins et avec les nécessités, mais aussi avec leurs frères des autres communautés religieuses.
L’imam de la grande mosquée d’Alépé (sud), Amadou Ouattara, dans son sermon, a exhorté les fidèles musulmans au respect des aux autorités locales car, a-t-il précisé, "c’est Dieu qui établit l’autorité".
Pour l'imam central de Sikensi, Diaby Moustapha, le respect aux personnalités garantit la paix et la cohésion sociale.
Enfin, la communauté musulmane du département de Tengréla (nord) a reçu, à l'occasion de la fête, 50 bœufs de la part de l’ONG turque CANSUYU.