Abidjan – De nombreux pays africains dont le Sénégal, le Ghana et l’Ethiopie ont réussi à réduire la malnutrition au cours des 15 dernières années, selon un nouveau rapport lancé mardi par le Panel Malabo Montpellier au 7ème Forum pour la Révolution Verte en Afrique qui se déroule en Côte d’Ivoire.
Ces progrès, suscités en partie par des actions et des interventions de politique, montrent que la lutte contre la malnutrition en Afrique peut être gagnée, selon un communiqué de presse du Panel transmis à l’AIP.
Le rapport du groupe d’éminents experts africains et internationaux en sécurité alimentaire, analyse les décisions et actions de politique qui ont contribué à ces réussites et tire des enseignements à l’intention des décideurs politiques, donateurs et autres intervenants.
« De nombreux progrès ont été accomplis, ce qui est encourageant. Cependant, des défis significatifs doivent encore être relevés. Pour atteindre les objectifs établis dans la Déclaration de Malabo et l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, les gouvernements doivent apprendre de leurs réussites passées et redoubler d’efforts pour s’attaquer au triple fléau de la faim, de la malnutrition et de l’obésité sur le continent… », a déclaré le co-président du Panel, Dr Ousmane Badiane.
« Les gouvernements réussissent à lutter contre la malnutrition quand ils la mettent en priorité dans leur agenda et dans leurs programmes de mise en œuvre interministériels et en étroite collaboration avec les partenaires. L’investissement est nécessaire pour la prévention des crises et l’élaboration des programmes permettant de construire la résilience face aux stress climatique », a renchéri Joachim von Braun, co-président du Panel.
Entre autres recommandations du rapport tirées de l’exemple établi par des pays qui ont obtenus des réussites, on peut citer l’adoption d’une politique détaillée sur la nutrition comme une priorité absolue; la mise en place d’un mécanisme de coordination d’un programme cohérent pour la nutrition à travers le gouvernement.
Il y a aussi l’investissement dans la prévention des crises et les capacités d’intervention d’urgence pour faire face à la menace de conflit et à la réduction de la malnutrition; le renforcement de la recherche agricole nationale pour étendre la bio-fortification et d’autres types de programmes d’enrichissement par les nutriments; l’autonomisation des groupes de femmes; la création de synergies entre l’agriculture, l’eau, la santé et l’assainissement.
cmas
Ces progrès, suscités en partie par des actions et des interventions de politique, montrent que la lutte contre la malnutrition en Afrique peut être gagnée, selon un communiqué de presse du Panel transmis à l’AIP.
Le rapport du groupe d’éminents experts africains et internationaux en sécurité alimentaire, analyse les décisions et actions de politique qui ont contribué à ces réussites et tire des enseignements à l’intention des décideurs politiques, donateurs et autres intervenants.
« De nombreux progrès ont été accomplis, ce qui est encourageant. Cependant, des défis significatifs doivent encore être relevés. Pour atteindre les objectifs établis dans la Déclaration de Malabo et l’Agenda 2063 de l’Union Africaine, les gouvernements doivent apprendre de leurs réussites passées et redoubler d’efforts pour s’attaquer au triple fléau de la faim, de la malnutrition et de l’obésité sur le continent… », a déclaré le co-président du Panel, Dr Ousmane Badiane.
« Les gouvernements réussissent à lutter contre la malnutrition quand ils la mettent en priorité dans leur agenda et dans leurs programmes de mise en œuvre interministériels et en étroite collaboration avec les partenaires. L’investissement est nécessaire pour la prévention des crises et l’élaboration des programmes permettant de construire la résilience face aux stress climatique », a renchéri Joachim von Braun, co-président du Panel.
Entre autres recommandations du rapport tirées de l’exemple établi par des pays qui ont obtenus des réussites, on peut citer l’adoption d’une politique détaillée sur la nutrition comme une priorité absolue; la mise en place d’un mécanisme de coordination d’un programme cohérent pour la nutrition à travers le gouvernement.
Il y a aussi l’investissement dans la prévention des crises et les capacités d’intervention d’urgence pour faire face à la menace de conflit et à la réduction de la malnutrition; le renforcement de la recherche agricole nationale pour étendre la bio-fortification et d’autres types de programmes d’enrichissement par les nutriments; l’autonomisation des groupes de femmes; la création de synergies entre l’agriculture, l’eau, la santé et l’assainissement.
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