Abidjan, 06 sept (AIP) – Dans son allocution d’ouverture officielle du 7ème Forum pour la révolution verte en Afrique (AGRF 2017) qui se déroule à Abidjan, le Président ivoirien, Dr Alassane Ouattara, a encouragé l’adhésion de plus de partenaires en soutien aux pays africains pour le financement du secteur agricole.
Mercredi à l’Auditorium du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, devant un parterre de personnalités issues du monde politique -dont des chefs d’Etat et de gouvernement-, d’institutions nationales et internationales, de fondations, de partenaires techniques et financiers ainsi que des représentants des différents maillons de la chaîne de valeur de l’agriculture, M. Ouattara a fait savoir les besoins sont énormes en Afrique dans le secteur.
M. Ouattara a salué les organisations qui ont annoncé 30 milliards de dollars US d'investissement à AGRF 2016, à Nairobi, au Kenya. Il a demandé aux partenaires « de mettre la main dans la poche, de sortir leurs chéquiers et d’aider AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique, ndlr) », afin de financer le secteur.
Les estimations font état de plus de 400 milliards de dollars US pour les prochaines années, a noté le chef de l’Etat ivoirien.
Pour Alassane Ouattara, le secteur agricole est une source de création d’emplois, de richesse et de développement inclusif. Pour corroborer ses dires, il a cité un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui révèle que la réduction de plus de moitié de la pauvreté est imputable à la croissance des revenus agricoles.
En Afrique, l’agriculture représente 16% du produit intérieur brut (BIP) alors qu’il occupe 60% des habitants, en majorité des femmes. La productivité demeure faible alors que le continent regorge de 65% des terres arables au monde. Les pays continuent d’importer environ 35 milliards de dollars pour de la nourriture de subsistance et ces chiffres pourraient atteindre $ 100 milliards d’ici 2030, s’est inquiété M. Ouattara.
cmas
Mercredi à l’Auditorium du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, devant un parterre de personnalités issues du monde politique -dont des chefs d’Etat et de gouvernement-, d’institutions nationales et internationales, de fondations, de partenaires techniques et financiers ainsi que des représentants des différents maillons de la chaîne de valeur de l’agriculture, M. Ouattara a fait savoir les besoins sont énormes en Afrique dans le secteur.
M. Ouattara a salué les organisations qui ont annoncé 30 milliards de dollars US d'investissement à AGRF 2016, à Nairobi, au Kenya. Il a demandé aux partenaires « de mettre la main dans la poche, de sortir leurs chéquiers et d’aider AGRA (Alliance pour une révolution verte en Afrique, ndlr) », afin de financer le secteur.
Les estimations font état de plus de 400 milliards de dollars US pour les prochaines années, a noté le chef de l’Etat ivoirien.
Pour Alassane Ouattara, le secteur agricole est une source de création d’emplois, de richesse et de développement inclusif. Pour corroborer ses dires, il a cité un rapport de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) qui révèle que la réduction de plus de moitié de la pauvreté est imputable à la croissance des revenus agricoles.
En Afrique, l’agriculture représente 16% du produit intérieur brut (BIP) alors qu’il occupe 60% des habitants, en majorité des femmes. La productivité demeure faible alors que le continent regorge de 65% des terres arables au monde. Les pays continuent d’importer environ 35 milliards de dollars pour de la nourriture de subsistance et ces chiffres pourraient atteindre $ 100 milliards d’ici 2030, s’est inquiété M. Ouattara.
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