( N’GUESSAN FOUSSENI)
Abidjan - Le Professeur Henriette Dagri-Diabaté, Grand Chancelier de l’Ordre national, et emblématique secrétaire générale du RDR, le parti des républicains(au pouvoir), est, depuis le 10 septembre 2017, le deuxième président de sa formation politique, à la succession d’Alassane Ouattara, l’actuel président de la République et chef de l’Etat ivoirien.
Comme Olympe de Gouges (de son vrai nom Marie Gouze), femmes de Lettres et révolutionnaire française, qui réclama, dans une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, l’émancipation des femmes, son choix n’en demeure pas moins celui du « Gentleman Agreement », le consensus, eu égard aux clivages latents qui risquent de saborder ce parti, selon des analystes.
Ces derniers, bien imprégnés de la politique locale, estiment que le choix d’Henriette Diabaté a l’avantage de reconstruire l’unité et la cohésion dont cette formation a besoin, à l’aune des enjeux et défis qui se profilent à l’horizon.
Longtemps, secrétaire général adjoint (mars 1998-octobre 1998), secrétaire général par intérim (octobre 1998-décembre 1999), à la suite du décès de Djéni Kobina, son tout-premier dirigeant, puis secrétaire général (1999-2011), Henriette Diabaté symbolise le mieux la geste du RDR et incarne ses hauts faits, pour lesquels elle fut emprisonnée en 1999.
Cette universitaire émérite-enseignante d’Histoire médiévale et d’Histoire des Relations internationales des universités- dispose d’importants atouts pour réussir sa mission. Sa maîtrise de l’idéologie politique locale et la profonde connaissance du sérail et de son agir en font incontestablement le président qu’il faut. De plus, au sein de son parti, tous les jeunes dirigeants actuels se sont plus ou moins construits sous son auréole.
NF
Abidjan - Le Professeur Henriette Dagri-Diabaté, Grand Chancelier de l’Ordre national, et emblématique secrétaire générale du RDR, le parti des républicains(au pouvoir), est, depuis le 10 septembre 2017, le deuxième président de sa formation politique, à la succession d’Alassane Ouattara, l’actuel président de la République et chef de l’Etat ivoirien.
Comme Olympe de Gouges (de son vrai nom Marie Gouze), femmes de Lettres et révolutionnaire française, qui réclama, dans une Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, l’émancipation des femmes, son choix n’en demeure pas moins celui du « Gentleman Agreement », le consensus, eu égard aux clivages latents qui risquent de saborder ce parti, selon des analystes.
Ces derniers, bien imprégnés de la politique locale, estiment que le choix d’Henriette Diabaté a l’avantage de reconstruire l’unité et la cohésion dont cette formation a besoin, à l’aune des enjeux et défis qui se profilent à l’horizon.
Longtemps, secrétaire général adjoint (mars 1998-octobre 1998), secrétaire général par intérim (octobre 1998-décembre 1999), à la suite du décès de Djéni Kobina, son tout-premier dirigeant, puis secrétaire général (1999-2011), Henriette Diabaté symbolise le mieux la geste du RDR et incarne ses hauts faits, pour lesquels elle fut emprisonnée en 1999.
Cette universitaire émérite-enseignante d’Histoire médiévale et d’Histoire des Relations internationales des universités- dispose d’importants atouts pour réussir sa mission. Sa maîtrise de l’idéologie politique locale et la profonde connaissance du sérail et de son agir en font incontestablement le président qu’il faut. De plus, au sein de son parti, tous les jeunes dirigeants actuels se sont plus ou moins construits sous son auréole.
NF