Abidjan - La ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé estime que les jeunes constituent un maillon essentiel dans l’atteinte de l’émergence de la Côte d’Ivoire.
S'exprimant jeudi à Abidjan, lors la cérémonie de présentation d’officielle et de lancement des travaux du Comité jeunesse, un organe de concertation nationale chargé du suivi et de l’évaluation de la politique nationale de la jeunesse, Kaba Nialé s’est félicitée de la mise en place d’une politique nationale de la jeunesse (PNJ) sur l’initiative du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service civique, Sidi Touré, adoptée en conseil des ministres en octobre 2016.
« La politique de la jeunesse constitue une priorité de développement et la vision du chef de l’Etat est de donner tous les moyes aux jeunes pour se prendre en charge », a indiqué Mme Kaba, présidente de la cérémonie.
Le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service civique, Sidi Touré a indiqué qu’au regard du dernier recensement général de la population, 77% de la population a moins de 35 ans. Selon lui, dans cette politique nationale de la jeunesse, un certain nombre de stratégies adresse les attentes des jeunes notamment leur autonomisation, leur protection, leur emploi, leur insertion.
« Donc le Comité jeunesse que nous venons de lancer grâce au Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a pour mission de faire un suivi évaluation de toutes les initiatives qui vont être développées dans tous les départements à l’attention des jeunes, d’en faire l’évaluation annuelle et d’en faire l’évaluation sur la période 2016-2020 », a-t-il assuré.
Sidi Touré a expliqué que « c’est un véritable outil, un cadre de concertation très important qui nous permet d’avoir le recul de substance pour pouvoir mieux apprécier l’impact de toutes les initiatives faites pour accorder de l’importance à tous les enjeux des jeunes ».
Le Comité jeunesse est composé des ministères techniques intervenant dans les questions liées à la jeunesse, des ONG, des collectivités décentralisées, du secteur privé, de la société civile et des représentants d’organisations de jeunesse.
gak/cmas
S'exprimant jeudi à Abidjan, lors la cérémonie de présentation d’officielle et de lancement des travaux du Comité jeunesse, un organe de concertation nationale chargé du suivi et de l’évaluation de la politique nationale de la jeunesse, Kaba Nialé s’est félicitée de la mise en place d’une politique nationale de la jeunesse (PNJ) sur l’initiative du ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service civique, Sidi Touré, adoptée en conseil des ministres en octobre 2016.
« La politique de la jeunesse constitue une priorité de développement et la vision du chef de l’Etat est de donner tous les moyes aux jeunes pour se prendre en charge », a indiqué Mme Kaba, présidente de la cérémonie.
Le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi Jeunes et du Service civique, Sidi Touré a indiqué qu’au regard du dernier recensement général de la population, 77% de la population a moins de 35 ans. Selon lui, dans cette politique nationale de la jeunesse, un certain nombre de stratégies adresse les attentes des jeunes notamment leur autonomisation, leur protection, leur emploi, leur insertion.
« Donc le Comité jeunesse que nous venons de lancer grâce au Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a pour mission de faire un suivi évaluation de toutes les initiatives qui vont être développées dans tous les départements à l’attention des jeunes, d’en faire l’évaluation annuelle et d’en faire l’évaluation sur la période 2016-2020 », a-t-il assuré.
Sidi Touré a expliqué que « c’est un véritable outil, un cadre de concertation très important qui nous permet d’avoir le recul de substance pour pouvoir mieux apprécier l’impact de toutes les initiatives faites pour accorder de l’importance à tous les enjeux des jeunes ».
Le Comité jeunesse est composé des ministères techniques intervenant dans les questions liées à la jeunesse, des ONG, des collectivités décentralisées, du secteur privé, de la société civile et des représentants d’organisations de jeunesse.
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