Abidjan – Le directeur de l’Institut de cardiologie d’Abidjan (ICA), le professeur Séka Assi Rémi rassure les malades sur les dispositions prises pour leur assurer une prise en charge effective, malgré la grêve entamée mardi par une partie de son personnel.
« Malgré cette turbulence, l’Institut continue d’assurer sa mission. Les malades sont en sécurité. Tous ceux qui auront besoin de nos services peuvent continuer de venir, ils recevront une prise en charge », a indiqué le premier responsable de cet institut de référence, lors d’une conférence de presse, jeudi.
Face à ce climat délétère, il a invité les protestataires à la retenue. « Nous voulons appeler à l’apaisement nos collaborateurs pour qu’ils prennent en compte les recommandations de madame la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou, pour des solutions durables», a-t-il soutenu.
Depuis le 27 juin jusqu’à ce jour, une dizaine de rencontres entre la ministre de tutelle, la direction de l’ICA et les agents grévistes avait abouti à la création d’un cadre juridique pour la prise d’un nouvel Arrêté interministériel précis sur la clé de répartition de cette prime, au titre de l’année 2017, selon le professeur Séka Assi Rémi.
Cet accord pris de commun accord a été remis en cause par le Collectif des agents protestataires de l’Institut de cardiologie d’Abidjan (CAPI) qui protestent contre la répartition de cette allocation annuelle, au titre de l’année 2016. Ils exigent, entre autres, le retrait systématique des émoluments de professeurs et des médecins inscrits au certificats d’études spéciales (CES) de cardiologie dans son calcul.
Tout en déclarant comprendre l’aspiration au mieux être de son personnel qu’il dit "fournir beaucoup d’efforts", à travers une revalorisation de l’allocation dévolue à son service, le professeur invite ceux-ci à reprendre le travail. « Nous sommes pour l’apaisement et la cohésion », a-t-il conclu.
nmfa/cmas
« Malgré cette turbulence, l’Institut continue d’assurer sa mission. Les malades sont en sécurité. Tous ceux qui auront besoin de nos services peuvent continuer de venir, ils recevront une prise en charge », a indiqué le premier responsable de cet institut de référence, lors d’une conférence de presse, jeudi.
Face à ce climat délétère, il a invité les protestataires à la retenue. « Nous voulons appeler à l’apaisement nos collaborateurs pour qu’ils prennent en compte les recommandations de madame la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou, pour des solutions durables», a-t-il soutenu.
Depuis le 27 juin jusqu’à ce jour, une dizaine de rencontres entre la ministre de tutelle, la direction de l’ICA et les agents grévistes avait abouti à la création d’un cadre juridique pour la prise d’un nouvel Arrêté interministériel précis sur la clé de répartition de cette prime, au titre de l’année 2017, selon le professeur Séka Assi Rémi.
Cet accord pris de commun accord a été remis en cause par le Collectif des agents protestataires de l’Institut de cardiologie d’Abidjan (CAPI) qui protestent contre la répartition de cette allocation annuelle, au titre de l’année 2016. Ils exigent, entre autres, le retrait systématique des émoluments de professeurs et des médecins inscrits au certificats d’études spéciales (CES) de cardiologie dans son calcul.
Tout en déclarant comprendre l’aspiration au mieux être de son personnel qu’il dit "fournir beaucoup d’efforts", à travers une revalorisation de l’allocation dévolue à son service, le professeur invite ceux-ci à reprendre le travail. « Nous sommes pour l’apaisement et la cohésion », a-t-il conclu.
nmfa/cmas