Parrain de la célébration du 3ème anniversaire de l’appel de Daoukro, le ministre d’Etat, ministre de Defense Hamed Bakayoko a tenu ce discours
Je suis heureux d’être aujourd’hui à Daoukro à l’occasion de cette journée anniversaire. C’est un grand honneur pour moi, d’avoir été choisi pour parrainer cette cérémonie célébrant le 3èmeanniversaire de l’Appel de Daoukro.
Monsieur le président Henri Konan Bédié, je vous remercie d’avoir permis cela et je vous exprime toute ma gratitude. Je veux remercier tous les organisateurs et tout particulièrement, le ministre Niamien N’goran, président du comité d’organisation et mon jeune frère Zié Coulibaly, président de la Fondation Espoir Pdci, partenaire de l’organisation.
Monsieur le président Bédié, l’appel de Daoukro a constitué un moment fort de la vie du Rhdp. Il nous a rassemblés, il nous a consolidés dans le processus et la dynamique de retrouvailles de la grande famille houphouétiste. Plus qu’un appel, l’appel de Daoukro est un pacte pour la paix et le développement.
Monsieur le président Henri Konan Bédié, je veux vous exprimer l’hommage et la reconnaissance de tous les jeunes qui vous ont applaudi et qui ont applaudit cet appel qui sauve. Le président Alassane Ouattara votre jeune frère et vous-même, êtes aujourd’hui les deux grandes colonnes qui portent la famille houphouétiste. Quand ça va chez vous, ça va très bien chez nous, le pays retrouve son éclat et son sourire. Le président Houphouët Boigny, nous a légué une grande famille unie dans un pays de paix. Nous avons tous le devoir de léguer à minima cet héritage aux générations futures. Nous vous faisons confiance, monsieur le président Henri Konan Bédié. Nous faisons confiance au président Alassane Ouattara. Ensemble, nous vous faisons confiance pour consolider davantage cette paix indispensable au rayonnement de la Côte d’Ivoire. Le Rhdp, nous a rassemblés, nous nous sommes retrouvés. Le Rhdp qui est apparu aux yeux de certains comme une simple alliance, s’est révélée aujourd’hui comme un pacte d’amour, mais bien au-delà, ce sont des familles qui se sont retrouvées, ce sont des amis qui ne se reconnaissaient plus qui se sont retrouvés et qui ont réappris à vivre ensemble. Quand le Rhdp se porte bien, tout va bien en Côte d’Ivoire. Et ce principe n’est pas seulement une réalité ivoirienne. En France, les enfants gaullistes ont une histoire qui est très proches. Quand ils étaient ensemble, ils ont assuré le rayonnement de la France, mais quand les enfants gaullistes se sont divisés en plusieurs courants : Rpr, Udf etc, ils ont d’abord perdu le pouvoir pendant 14 ans et quand ils se sont remis ensemble dans le grand ensemble appelé les républicains, ils ont repris le pouvoir et là encore, ils se sont divisés en centre, gauche, ils viennent encore de perdre le pouvoir. C’est exactement, ce qui nous est arrivé en Côte d’Ivoire. Quand, nous les héritiers d’Houphouët, nous avons eu des difficultés, nous avons subi la période des refondateurs avec son lot de désolations. C’est pourquoi, je voudrais faire un appel solennel à tous les cadres de nos partis : Pdci, Rdr, Udpci, Upci, Mfa, tous les partis houphouétistes pour que nous soyons tous des acteurs de paix et de rapprochement. Que nous évitions d’êtres des faucons, des va-t-en guerre, que par des jeux de mots, des jeux de phrases, nous puissions mettre en péril notre rassemblement, nos retrouvailles. Je veux dire à ceux-là qu’ils ne mesurent pas le péril qui nous guette car les autres, nous regardent. Ils n’attendent que la fissure pour encore rebondir et plonger le pays dans le chaos. Nous devons tous éviter la politique du moi, du moi ou le déluge, moi ou rien, moi ou la guerre. Nous devons éviter toutes les politiques de la terre brûlée, notre rassemblement est au-dessus de toute ambition personnelle. Nous devons voir l’intérêt du pays et porter nos ambitions au sein, de nos grands ensembles, donc de l’ambition collective. Que nos débats importants sue notre avenir politique ne se fassent pas sur la place publique.
Monsieur le président, nous vous faisons confiance, nous avons confiance en vous. Nous comptons sur vous et votre jeune frère, le président Alassane Ouattara. Le jeune Zié a dit : ordonnez, orientez, nous allons suivre, poursuivre la marche intergénérationnelle des enfants d’Houphouët Boigny.
Je veux saluer votre parcours, monsieur le président, votre parcours exceptionnel. Je dois dire que j’ai remarqué votre calme. Vous êtes un homme politique qui a tout connu, qui a tout vécu, mais toujours avec calme et sérénité. Et cela est un enseignement pour nous les jeunes. Moi, vous m’avez appris, parce que beaucoup se souviennent, dans une partie de ma jeunesse, j’étais très bouillant. Aujourd’hui, je suis beaucoup plus calme, parce que j’ai muri et j’ai pesé la puissance des défis, la force des défis, la force du rassemblement, la visibilité de travailler à être ensemble. C’est plus facile par des invectives d’occuper la Une des journaux, mais notre défis, c’est pour nos enfants et nos petits-enfants. Et nous avons confiance en vous et le président Ouattara a trouvé des solutions qui vont déjouer tous les pronostics de ceux qui pensent que nous allons nous casser le visage, de ceux qui pensent que nous allons encore faire des palabres. On a plus envie de faire des palabres, nous avons envie de construire le pays, on veut le développer, on veut réduire la pauvreté et tout cela nous c’est avec l’essentiel de paix et de stabilité qu’est le Rhdp.
Monsieur le président, je m’en voudrais de quitter ce pupitre, sans saluer votre épouse, Madame Henriette Bédié, la remercier pour sa générosité et son sourire permanent qui rassure. Je veux saluer Monsieur le vice-président Duncan qui est un homme très compétent et de grande tempérance. Je voulais aussi remercier Madame la Grande chancelière Henriette Diabaté et lui réitérer tous nos vœux de succès/ Madame la présidente du Rdr, nous allons pouvoir compter sur son calme, son expérience, sur sa tempérance, sa modération pour conduire les discussions pour l’aboutissement d’accords qui consolident notre grande famille politique. Je salue mon ainé Ahoussou Jeannot. Quand nous étions jeunes, président de la jeunesse estudiantine et scolaire du Pdci, le mouvement qui a succédé au Meeci, nous avons été formés par nos devanciers Maurice Kakou Guikahué, nous avons bénéficiés de leur soutien et à cette époque le Premier ministre Ahoussou était le conseiller juridique de tous qui avaient maille à partir avec la justice.
Je veux saluer ma grande sœur la "Péré" nationale, Mme Kandia Camara et lui dire que nous sommes très fiers au Rdr de sa désignation comme secrétaire générale du Rdr.
Monsieur le président Bédié, il y a 7 jours, le Rassemblement des républicains a tenu son 3èmecongrès ordinaire et cette jours après, pour ceux qui savent lire entre les chiffres, nous célébrons le 3ème anniversaire de l’Appel de Daoukro. Madame Dagri est là, Madame Kandia est là, c’est un gage puissant d’adhésion que vous apporte le rassemblement des républicain pour que nous puissions aller plus loin, dans notre grand mouvement, dans notre grand rassemblement.
Monsieur le président, je voudrais terminer mon propos par un hommage au ministre Léon Konan Koffi qui nous a quitté. C’est un homme de conviction, ministre de l’Intérieur et de la défense, vous l’avez connu, c’est un homme de conciliation. Je l’ai vu aller et revenir pour tenir les colonnes de notre rassemblement. Je veux rappeler le souvenir de cet homme pour que son exemple profite aux jeunes.
C’est avec à ces mots et ce souvenir que je vais dire, vive le Rhdp pour une Côte d’Ivoire en paix et pour une Côte d’Ivoire prospère.
Je suis heureux d’être aujourd’hui à Daoukro à l’occasion de cette journée anniversaire. C’est un grand honneur pour moi, d’avoir été choisi pour parrainer cette cérémonie célébrant le 3èmeanniversaire de l’Appel de Daoukro.
Monsieur le président Henri Konan Bédié, je vous remercie d’avoir permis cela et je vous exprime toute ma gratitude. Je veux remercier tous les organisateurs et tout particulièrement, le ministre Niamien N’goran, président du comité d’organisation et mon jeune frère Zié Coulibaly, président de la Fondation Espoir Pdci, partenaire de l’organisation.
Monsieur le président Bédié, l’appel de Daoukro a constitué un moment fort de la vie du Rhdp. Il nous a rassemblés, il nous a consolidés dans le processus et la dynamique de retrouvailles de la grande famille houphouétiste. Plus qu’un appel, l’appel de Daoukro est un pacte pour la paix et le développement.
Monsieur le président Henri Konan Bédié, je veux vous exprimer l’hommage et la reconnaissance de tous les jeunes qui vous ont applaudi et qui ont applaudit cet appel qui sauve. Le président Alassane Ouattara votre jeune frère et vous-même, êtes aujourd’hui les deux grandes colonnes qui portent la famille houphouétiste. Quand ça va chez vous, ça va très bien chez nous, le pays retrouve son éclat et son sourire. Le président Houphouët Boigny, nous a légué une grande famille unie dans un pays de paix. Nous avons tous le devoir de léguer à minima cet héritage aux générations futures. Nous vous faisons confiance, monsieur le président Henri Konan Bédié. Nous faisons confiance au président Alassane Ouattara. Ensemble, nous vous faisons confiance pour consolider davantage cette paix indispensable au rayonnement de la Côte d’Ivoire. Le Rhdp, nous a rassemblés, nous nous sommes retrouvés. Le Rhdp qui est apparu aux yeux de certains comme une simple alliance, s’est révélée aujourd’hui comme un pacte d’amour, mais bien au-delà, ce sont des familles qui se sont retrouvées, ce sont des amis qui ne se reconnaissaient plus qui se sont retrouvés et qui ont réappris à vivre ensemble. Quand le Rhdp se porte bien, tout va bien en Côte d’Ivoire. Et ce principe n’est pas seulement une réalité ivoirienne. En France, les enfants gaullistes ont une histoire qui est très proches. Quand ils étaient ensemble, ils ont assuré le rayonnement de la France, mais quand les enfants gaullistes se sont divisés en plusieurs courants : Rpr, Udf etc, ils ont d’abord perdu le pouvoir pendant 14 ans et quand ils se sont remis ensemble dans le grand ensemble appelé les républicains, ils ont repris le pouvoir et là encore, ils se sont divisés en centre, gauche, ils viennent encore de perdre le pouvoir. C’est exactement, ce qui nous est arrivé en Côte d’Ivoire. Quand, nous les héritiers d’Houphouët, nous avons eu des difficultés, nous avons subi la période des refondateurs avec son lot de désolations. C’est pourquoi, je voudrais faire un appel solennel à tous les cadres de nos partis : Pdci, Rdr, Udpci, Upci, Mfa, tous les partis houphouétistes pour que nous soyons tous des acteurs de paix et de rapprochement. Que nous évitions d’êtres des faucons, des va-t-en guerre, que par des jeux de mots, des jeux de phrases, nous puissions mettre en péril notre rassemblement, nos retrouvailles. Je veux dire à ceux-là qu’ils ne mesurent pas le péril qui nous guette car les autres, nous regardent. Ils n’attendent que la fissure pour encore rebondir et plonger le pays dans le chaos. Nous devons tous éviter la politique du moi, du moi ou le déluge, moi ou rien, moi ou la guerre. Nous devons éviter toutes les politiques de la terre brûlée, notre rassemblement est au-dessus de toute ambition personnelle. Nous devons voir l’intérêt du pays et porter nos ambitions au sein, de nos grands ensembles, donc de l’ambition collective. Que nos débats importants sue notre avenir politique ne se fassent pas sur la place publique.
Monsieur le président, nous vous faisons confiance, nous avons confiance en vous. Nous comptons sur vous et votre jeune frère, le président Alassane Ouattara. Le jeune Zié a dit : ordonnez, orientez, nous allons suivre, poursuivre la marche intergénérationnelle des enfants d’Houphouët Boigny.
Je veux saluer votre parcours, monsieur le président, votre parcours exceptionnel. Je dois dire que j’ai remarqué votre calme. Vous êtes un homme politique qui a tout connu, qui a tout vécu, mais toujours avec calme et sérénité. Et cela est un enseignement pour nous les jeunes. Moi, vous m’avez appris, parce que beaucoup se souviennent, dans une partie de ma jeunesse, j’étais très bouillant. Aujourd’hui, je suis beaucoup plus calme, parce que j’ai muri et j’ai pesé la puissance des défis, la force des défis, la force du rassemblement, la visibilité de travailler à être ensemble. C’est plus facile par des invectives d’occuper la Une des journaux, mais notre défis, c’est pour nos enfants et nos petits-enfants. Et nous avons confiance en vous et le président Ouattara a trouvé des solutions qui vont déjouer tous les pronostics de ceux qui pensent que nous allons nous casser le visage, de ceux qui pensent que nous allons encore faire des palabres. On a plus envie de faire des palabres, nous avons envie de construire le pays, on veut le développer, on veut réduire la pauvreté et tout cela nous c’est avec l’essentiel de paix et de stabilité qu’est le Rhdp.
Monsieur le président, je m’en voudrais de quitter ce pupitre, sans saluer votre épouse, Madame Henriette Bédié, la remercier pour sa générosité et son sourire permanent qui rassure. Je veux saluer Monsieur le vice-président Duncan qui est un homme très compétent et de grande tempérance. Je voulais aussi remercier Madame la Grande chancelière Henriette Diabaté et lui réitérer tous nos vœux de succès/ Madame la présidente du Rdr, nous allons pouvoir compter sur son calme, son expérience, sur sa tempérance, sa modération pour conduire les discussions pour l’aboutissement d’accords qui consolident notre grande famille politique. Je salue mon ainé Ahoussou Jeannot. Quand nous étions jeunes, président de la jeunesse estudiantine et scolaire du Pdci, le mouvement qui a succédé au Meeci, nous avons été formés par nos devanciers Maurice Kakou Guikahué, nous avons bénéficiés de leur soutien et à cette époque le Premier ministre Ahoussou était le conseiller juridique de tous qui avaient maille à partir avec la justice.
Je veux saluer ma grande sœur la "Péré" nationale, Mme Kandia Camara et lui dire que nous sommes très fiers au Rdr de sa désignation comme secrétaire générale du Rdr.
Monsieur le président Bédié, il y a 7 jours, le Rassemblement des républicains a tenu son 3èmecongrès ordinaire et cette jours après, pour ceux qui savent lire entre les chiffres, nous célébrons le 3ème anniversaire de l’Appel de Daoukro. Madame Dagri est là, Madame Kandia est là, c’est un gage puissant d’adhésion que vous apporte le rassemblement des républicain pour que nous puissions aller plus loin, dans notre grand mouvement, dans notre grand rassemblement.
Monsieur le président, je voudrais terminer mon propos par un hommage au ministre Léon Konan Koffi qui nous a quitté. C’est un homme de conviction, ministre de l’Intérieur et de la défense, vous l’avez connu, c’est un homme de conciliation. Je l’ai vu aller et revenir pour tenir les colonnes de notre rassemblement. Je veux rappeler le souvenir de cet homme pour que son exemple profite aux jeunes.
C’est avec à ces mots et ce souvenir que je vais dire, vive le Rhdp pour une Côte d’Ivoire en paix et pour une Côte d’Ivoire prospère.