La Commission Nationale de lutte contre la prolifération et la circulation illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (ComNat-ALPC) en partenariat avec le PNUD a organisé ce jeudi, un atelier de restitution de l`étude sur la production artisanale d`armes à feu en Côte d`Ivoire. Cet atelier consistait, pour les consultants, de présenter les résultats de cette étude aux décideurs, en vue d’établir une réglementation de ce secteur en Côte d’Ivoire.
La cérémonie a enregistré la présence du Président de la ComNat-ALPC, le Préfet Hors Grade Kouadio Yao, le représentant du Secrétaire Général du CNS, M. Yewe Paulin, le Directeur Pays PNUD M Luc Grégoire
Conformément à la Convention de la CEDEAO sur les armes légères et de petit calibre, leurs munitions et autres matériels connexes, la Commission Nationale de lutte contre la Prolifération et la Circulation illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (ComNat-ALPC) a inscrit le contrôle de la production artisanale d’armes au chapitre des axes prioritaires de son Plan de Travail Annuel (PTA) 2017.
Ainsi, dans l’optique de l’harmonisation progressive des textes nationaux avec ladite Convention, précisément en ses articles 7 et 8, la ComNat-ALPC a initié, avec l’appui financier du Japon à travers le PNUD, une Etude sur la production artisanale des armes en Côte d’Ivoire. L’objectif global de cette étude est de recenser tous les producteurs artisanaux d’armes à feu et d’évaluer le nombre et types d’armes artisanales en circulation en vue de proposer des outils au Gouvernement pour le contrôle de cette activité illicite.
Pour le Président de la ComNat-ALPC, Kouadio Yao « Les Etats s’engagent à contrôler la fabrication des armes légères et de petit calibre, sur leur territoire national. Chaque Etat Membre réglemente les activités des fabricants locaux d’armes légères et de petit calibre, et s’engage à adopter des politiques et stratégies de réduction, et/ou de limitation, de la fabrication locale d’armes légères et de petit calibre et de leur commercialisation dans l’espace CEDEAO. Les Etats membres s’engagent à dresser une liste exhaustive des fabricants locaux d’armes légères et de petit calibre et à procéder à leur enregistrement dans les registres nationaux d’armes. »
Luc Grégoire, Directeur Pays du PNUD est quant à lui convaincu que « les résultats et recommandations de cette étude contribueront de manière substantielle à l’harmonisation des textes réglementaires nationaux sur la production et la circulation des ALPC en Côte d’Ivoire et surtout, qu’elle permette d’explorer les réponses adéquates pour mieux les adapter aux réalités du pays ».
La restitution a été suivie de contributions et de recommandations pertinentes en vue de définir une stratégie nationale cohérente, pour contrôler cette activité qui, jusque-là est pratiquée de façon illicite.
La cérémonie a enregistré la présence du Président de la ComNat-ALPC, le Préfet Hors Grade Kouadio Yao, le représentant du Secrétaire Général du CNS, M. Yewe Paulin, le Directeur Pays PNUD M Luc Grégoire
Conformément à la Convention de la CEDEAO sur les armes légères et de petit calibre, leurs munitions et autres matériels connexes, la Commission Nationale de lutte contre la Prolifération et la Circulation illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (ComNat-ALPC) a inscrit le contrôle de la production artisanale d’armes au chapitre des axes prioritaires de son Plan de Travail Annuel (PTA) 2017.
Ainsi, dans l’optique de l’harmonisation progressive des textes nationaux avec ladite Convention, précisément en ses articles 7 et 8, la ComNat-ALPC a initié, avec l’appui financier du Japon à travers le PNUD, une Etude sur la production artisanale des armes en Côte d’Ivoire. L’objectif global de cette étude est de recenser tous les producteurs artisanaux d’armes à feu et d’évaluer le nombre et types d’armes artisanales en circulation en vue de proposer des outils au Gouvernement pour le contrôle de cette activité illicite.
Pour le Président de la ComNat-ALPC, Kouadio Yao « Les Etats s’engagent à contrôler la fabrication des armes légères et de petit calibre, sur leur territoire national. Chaque Etat Membre réglemente les activités des fabricants locaux d’armes légères et de petit calibre, et s’engage à adopter des politiques et stratégies de réduction, et/ou de limitation, de la fabrication locale d’armes légères et de petit calibre et de leur commercialisation dans l’espace CEDEAO. Les Etats membres s’engagent à dresser une liste exhaustive des fabricants locaux d’armes légères et de petit calibre et à procéder à leur enregistrement dans les registres nationaux d’armes. »
Luc Grégoire, Directeur Pays du PNUD est quant à lui convaincu que « les résultats et recommandations de cette étude contribueront de manière substantielle à l’harmonisation des textes réglementaires nationaux sur la production et la circulation des ALPC en Côte d’Ivoire et surtout, qu’elle permette d’explorer les réponses adéquates pour mieux les adapter aux réalités du pays ».
La restitution a été suivie de contributions et de recommandations pertinentes en vue de définir une stratégie nationale cohérente, pour contrôler cette activité qui, jusque-là est pratiquée de façon illicite.