La directrice centrale de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), Barry Sana Oumou, a convié, vendredi, ses hôtes de la 5ème réunion du Conseil exécutif de la Fédération Atlantique des agences de presse africaines (FAAPA), à une visite du centre artisanal de Biétry, dans la commune de Marcory (Abidjan-Sud), pour leur présenter un pan des richesses artisanales ivoiriennes et de la sous-région, en marge des travaux tenus, jeudi, à Novotel.
« Nous sommes très satisfaits de cette visite. J’ai rencontré ici un de mes frères et c’était très chaleureux. Nous avons fait beaucoup d’achats et chacun de nous repart avec des souvenirs de notre séjour ici », a confié le directeur général de l'Agence de presse sénégalaise (APS), Thierno Birahim Fall, à l’issue de la visite.
Sous les yeux experts de la directrice centrale AIP, Mme Sana Oumou Barry, le secrétaire général de la FAAPA, le marocain Mohamed Anis s’est offert une statuette en bronze tandis que les autres membres enlevaient divers objets.
Dans les dédales et allées du site, sont exposées des centaines d’œuvres artisanales d’art aussi originales qu’hétéroclites d’une vingtaine de métiers, de la maroquinerie à la couture en passant par la peinture ou la sculpture. Une chaise dont le siège et le dossier sont tissés de capsules de bouteilles, des statues en bronze ou en matériaux de récupération, des porte-clés en os de rhinocéros, des têtes d’Ifé du Niger, des boubous traditionnels sont disposés sur les étalages des 157 boxes du site.
Soupçonnés toutefois de fixer des prix excessivement chers ou à la tête du client, les artisans se sont plutôt défendus du contraire. Pour Salif Coulibaly, les prix des marchandises sont fonction du travail effectué pour confectionner la pièce et de sa valeur esthétique.
Vendeuse de perles et statues en bronze et en bois d’ébène, Mme Lassaria Fatim a dénoncé la concurrence déloyale que leur feraient les artisans de Grand-Bassam qui vendent moins chères des œuvres « qu’ils fabriquent avec du bois blanc qu’ils peignent ensuite en noir pour duper les acheteurs qui ne savent rien mais veulent seulement décorer leur maison ».
Le Centre artisanal de Biétry existe depuis 1992 et accueille des artistes ivoiriens et de la sous-région ouest-africaine, selon la gérante, Mlle Djangoné Sandrine.
aaa/fmo
« Nous sommes très satisfaits de cette visite. J’ai rencontré ici un de mes frères et c’était très chaleureux. Nous avons fait beaucoup d’achats et chacun de nous repart avec des souvenirs de notre séjour ici », a confié le directeur général de l'Agence de presse sénégalaise (APS), Thierno Birahim Fall, à l’issue de la visite.
Sous les yeux experts de la directrice centrale AIP, Mme Sana Oumou Barry, le secrétaire général de la FAAPA, le marocain Mohamed Anis s’est offert une statuette en bronze tandis que les autres membres enlevaient divers objets.
Dans les dédales et allées du site, sont exposées des centaines d’œuvres artisanales d’art aussi originales qu’hétéroclites d’une vingtaine de métiers, de la maroquinerie à la couture en passant par la peinture ou la sculpture. Une chaise dont le siège et le dossier sont tissés de capsules de bouteilles, des statues en bronze ou en matériaux de récupération, des porte-clés en os de rhinocéros, des têtes d’Ifé du Niger, des boubous traditionnels sont disposés sur les étalages des 157 boxes du site.
Soupçonnés toutefois de fixer des prix excessivement chers ou à la tête du client, les artisans se sont plutôt défendus du contraire. Pour Salif Coulibaly, les prix des marchandises sont fonction du travail effectué pour confectionner la pièce et de sa valeur esthétique.
Vendeuse de perles et statues en bronze et en bois d’ébène, Mme Lassaria Fatim a dénoncé la concurrence déloyale que leur feraient les artisans de Grand-Bassam qui vendent moins chères des œuvres « qu’ils fabriquent avec du bois blanc qu’ils peignent ensuite en noir pour duper les acheteurs qui ne savent rien mais veulent seulement décorer leur maison ».
Le Centre artisanal de Biétry existe depuis 1992 et accueille des artistes ivoiriens et de la sous-région ouest-africaine, selon la gérante, Mlle Djangoné Sandrine.
aaa/fmo