« La chute brutale du cours du cacao, intervenue en novembre 2016, a mis en exergue la fragilité de l’économie cacaoyère ivoirienne », faisait remarquer Yves Brahima Koné, le directeur général du Conseil du café-cacao (Ccc).
Dans ce renversement brutal du marché, un fait est pointé du doigt. Il s’agit de la surproduction de l’or brun dans le monde. Celle-ci est estimée à près de 380 000 tonnes de fèves. « C’est une année record. Le prix, en deux mois, a baissé à la fin de la campagne 2016-2017 », explique Dr Michele Nardella, directeur de la division économique et statistique de l’Organisation internationale du cacao (Icco) basée à Abidjan.
La conséquence est que le cacao a perdu au moins 30% de sa valeur sur les marchés. Selon les spécialistes, en... suite de l'article sur Fraternité Matin
Dans ce renversement brutal du marché, un fait est pointé du doigt. Il s’agit de la surproduction de l’or brun dans le monde. Celle-ci est estimée à près de 380 000 tonnes de fèves. « C’est une année record. Le prix, en deux mois, a baissé à la fin de la campagne 2016-2017 », explique Dr Michele Nardella, directeur de la division économique et statistique de l’Organisation internationale du cacao (Icco) basée à Abidjan.
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