Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a lancé sa 3ème campagne de distribution gratuite de moustiquaires imprégnées à longue durée d’action sur tout le territoire national dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Au cours d’une conférence de presse organisée, hier, dans les locaux du Programme de lutte contre le paludisme, à la Riviéra-Palmeraie, le déroulement et les enjeux de cette campagne ont été expliqués à la presse.
A en croire le directeur-coordonnateur adjoint de la lutte contre le paludisme, Dr. Mamadou Silué, cette campagne se fera en deux phases. « Nous avons comme première activité en cours depuis septembre et qui prendra fin en novembre, la campagne de démoustication financée par l’Etat. Les différentes villes concernées par cette opération sont Adiaké, Aboisso, Bonoua, Grand –Bassam et Dabou. Les localités ont été choisies parce que dans nos statistiques elles abritent des foyers où le paludisme est beaucoup représenté. Ensuite, après cette grande campagne, nous passerons à la distribution de 15 millions de moustiquaires imprégnées gratuitement dans 15 régions sanitaires. Le plus important est l’utilisation des moustiquaires, car nous avons remarqué un faible taux d’utilisation de ces moustiquaires par la population », a-t-il expliqué.
Anne Lohourignon
(stagiaire)
A en croire le directeur-coordonnateur adjoint de la lutte contre le paludisme, Dr. Mamadou Silué, cette campagne se fera en deux phases. « Nous avons comme première activité en cours depuis septembre et qui prendra fin en novembre, la campagne de démoustication financée par l’Etat. Les différentes villes concernées par cette opération sont Adiaké, Aboisso, Bonoua, Grand –Bassam et Dabou. Les localités ont été choisies parce que dans nos statistiques elles abritent des foyers où le paludisme est beaucoup représenté. Ensuite, après cette grande campagne, nous passerons à la distribution de 15 millions de moustiquaires imprégnées gratuitement dans 15 régions sanitaires. Le plus important est l’utilisation des moustiquaires, car nous avons remarqué un faible taux d’utilisation de ces moustiquaires par la population », a-t-il expliqué.
Anne Lohourignon
(stagiaire)