Béoumi - Dans le cadre de l'opération "Épervier 3" qui vise à éradiquer toutes les formes d'insécurité à travers la Côte d'Ivoire, la police de Béoumi, conduite par le commissaire Séri Bissouma Jean Claude, a saisi au marché, plusieurs médicaments non enregistrés.
Cette vaste opération ordonnée par le directeur général de la police a pour mission de rechercher toute forme de drogue, de détruire les fumoirs, de lutter contre le phénomène des enfants en conflit avec la loi communément appelés "microbes" et l'incivisme, et de combattre les engins à deux roues utilisés pour commettre les infractions.
«Il est temps de mettre fin à cette anarchie qui règne dans ce milieu de vente de médicaments dans les rues car sans posologie aucune, cela cause un véritable problème de santé publique. Cette opération va permettre d'extirper les drogues légères qui poussent les jeunes d'aujourd'hui à commettre les infractions de tous genres », a affirmé le commissaire Séri Bissouma.
Aucune opération d'une telle envergure n'a eu auparavant lieu à Béoumi. C'est avec donc amertume que les vendeuses de médicaments, installées depuis belle lurette, ont vu leurs " produits pharmaceutiques" prendre le chemin du commissariat en vue de leur destruction, a constaté l'AIP.
nyl/amak/cmas
Cette vaste opération ordonnée par le directeur général de la police a pour mission de rechercher toute forme de drogue, de détruire les fumoirs, de lutter contre le phénomène des enfants en conflit avec la loi communément appelés "microbes" et l'incivisme, et de combattre les engins à deux roues utilisés pour commettre les infractions.
«Il est temps de mettre fin à cette anarchie qui règne dans ce milieu de vente de médicaments dans les rues car sans posologie aucune, cela cause un véritable problème de santé publique. Cette opération va permettre d'extirper les drogues légères qui poussent les jeunes d'aujourd'hui à commettre les infractions de tous genres », a affirmé le commissaire Séri Bissouma.
Aucune opération d'une telle envergure n'a eu auparavant lieu à Béoumi. C'est avec donc amertume que les vendeuses de médicaments, installées depuis belle lurette, ont vu leurs " produits pharmaceutiques" prendre le chemin du commissariat en vue de leur destruction, a constaté l'AIP.
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