Dimbokro - Au total 3748 orphelins et enfants vulnérables du fait du VIH-Sida (OEV) sont confrontés à divers problèmes, notamment psychologiques, socio-affectifs, de protection et de moyens de subsistance dans la région du N’zi, a révélé le coordonnateur de la plateforme OEV de la région, Bouikalo Max Fulgence, en se référant à un rapport de juillet.
"Le dernier rapport qui date de juillet 2017 qui prend en compte Bocanda et Dimbokro, indique 3748 OEV dont 2050 filles et 1698 garçons", a déclaré Bouikalo Max Fulgence, lors d’un entretien, mercredi, avec l’AIP à Dimbokro.
Il a précisé que la prise en charge de ces OEV est faite par sept services, entre autres, le service de la sécurité alimentaire et nutrition, le service du soutien au soin de santé, à l’éducation et à la mise en apprentissage.
Bouikalo Max a souligné le rôle joué par le projet "Ressources pour l'élimination de la vulnérabilité des enfants (REVE)" dans le renforcement de la capacité des communautés et des familles à assurer le bien-être des plus vulnérables de leurs membres, dont les orphelins et enfants vulnérables (OEV), les personnes vivant avec le VIH dans (PVVIH) et les adolescentes dans la région du N’zi.
Il a déploré la fin du REVE depuis le 30 septembre, faisant de Dimbokro une zone de maintenance tout en indiquant qu’il n’y a plus de séroprévalence.
"Or, les rapports que nous recevons de la part du district sanitaire prouve le contraire. Chaque semaine, il y a une nouvelle infection. C’est alarmant, il faut que les responsables du projet revoient leur position, parce qu’en vérité, Dimbokro est affectée. C’est un problème assez grave", s’est inquiété le coordonnateur.
ik/kp
"Le dernier rapport qui date de juillet 2017 qui prend en compte Bocanda et Dimbokro, indique 3748 OEV dont 2050 filles et 1698 garçons", a déclaré Bouikalo Max Fulgence, lors d’un entretien, mercredi, avec l’AIP à Dimbokro.
Il a précisé que la prise en charge de ces OEV est faite par sept services, entre autres, le service de la sécurité alimentaire et nutrition, le service du soutien au soin de santé, à l’éducation et à la mise en apprentissage.
Bouikalo Max a souligné le rôle joué par le projet "Ressources pour l'élimination de la vulnérabilité des enfants (REVE)" dans le renforcement de la capacité des communautés et des familles à assurer le bien-être des plus vulnérables de leurs membres, dont les orphelins et enfants vulnérables (OEV), les personnes vivant avec le VIH dans (PVVIH) et les adolescentes dans la région du N’zi.
Il a déploré la fin du REVE depuis le 30 septembre, faisant de Dimbokro une zone de maintenance tout en indiquant qu’il n’y a plus de séroprévalence.
"Or, les rapports que nous recevons de la part du district sanitaire prouve le contraire. Chaque semaine, il y a une nouvelle infection. C’est alarmant, il faut que les responsables du projet revoient leur position, parce qu’en vérité, Dimbokro est affectée. C’est un problème assez grave", s’est inquiété le coordonnateur.
ik/kp