Les Prix Top 10 de la Mode Ivoirienne donneront leurs verdicts le jeudi 19 octobre à la salle Majestic Ivoire su Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Avant les résultats, Fatim Sydney, personnalité Mode de l’année 2016, livre ses sentiments sur son prix et encourage la tenue de cet event.
Fatim Sydney n’a plus ses 17 ans. Elle a aussi pris quelques kilos. Mais pendant ses rares apparitions sur les podiums de défilé, Fatim épate, émerveille. Elle est énergique et sympa à voir. « Je tire ma joie et mon énergie sur les T de ma passion. J’aime dire à mes collaborateurs : engagez-vous dans ce que vous aimez. Comme cela, ça ne vous pèsera pas en le faisant. A la base, aucun métier n’est facile. Mais c’est moins contraignant quand on choisit de se lancer dans ce qu’on aime», explique le top model ivoirien. Là où certains mannequins sont crispés et hésitants sur le podium, Fatim se la joue zen et décontracté comme la vie de tous les jours. Mais son action dans le milieu ne se limite pas seulement aux défilés. Elle règlemente le secteur du mannequinat avec son agence Sydney Conceptuel et le Réseau des agences et mannequins de Côte d’Ivoire (RAM-CI) qu’elle a mis sur pied il y a quelques années. Fatim valorise également les mannequins à travers son émission télé ‘’La saga des mannequins’’ et son event ‘’Les Awards du mannequinat’’ au cours duquel, elle récompense les rois et reines du T, anciens et jeunes compris. C’est pour toutes ces raisons que Le Top 10 de la Mode ivoirienne l’a consacrée Personnalité Mode de l’année 2016. A quelques jours de sa succession, la patronne de Sydney Conceptuel dit être fière de cette reconnaissance. « A dire vrai, j’étais très étonnée d’être primée. En même temps, je me suis dit après, que si on me l’a attribué, c’est que je le mérite. Et plus qu’une reconnaissance de mon travail, je l’ai pris comme une invite à redoubler d’effort dans ce que je fais. D’autant plus que je venais après des noms célèbres comme Gilles Touré et Isabelle Anoh », dit Fatim Sydney. Qui poursuit : «Je suis aussi heureuse du fait que les gens ont compris le combat que je mène. Mais cela voudrait également dire que je n’avais pas droit à l’erreur. Le Top 10 de la Mode ivoirienne est une consécration pour un travail accompli. Mais pour moi, c’est plus un encouragement pour un nouvel élan. Et ce n’est pas quand je prends mon élan et que les gens m’encouragent que je vais baisser les bras. Au contraire, ça me met une pression énorme de devoir faire plus, faire mieux ».
La trentaine bien entamée, La personnalité Mode de 2016 en Côte d’ivoire avoue avoir eu beaucoup de chance. Car, très souvent sous cieux, les récompenses vont aux personnes d’un certain âge. Aujourd’hui, Kifact Media Mode, l’initiateur du prix a changé la donne. Seul le mérite est salué. Pas seulement la durée. Ce qui est intéressant dans ce gens de distinction, c’est qu’on en tire toujours quelque chose de positif. Et Fatim ne dit pas le contraire. « Participer à des compétitions est une bonne chose. Qu’on soit primé ou non, on en sort grandi en ce sens que les prix viennent témoigner un parcours, un vécu, une histoire », soutient-elle.
De ses débuts à 17 ans chez Etienne Marcel à Abidjan à Manchester en Angleterre en passant par Afrique Agence et Top Model Afrique, Fatim Sidimé dite Fatim Sydney écrit tant bien que mal son nom dans le livre d’or des grands acteurs de la mode en Côte d’Ivoire. Pour tenir le cap, elle bouge, bouge comme le chante Magic System. En attendant de lancer officiellement sa ligne de vêtements, elle fait la télé, coordonne les activités du RAM-CI et pilote Les Awards du mannequinat. Pour pouvoir assurer et superviser tous ces boulots, il faut être soi-même soutenu. C’est pour cela que Fatim tire son foulard au Top 10 de la Mode Ivoirienne. « Ce prix m’a beaucoup apporté. Il m’a solidifiée. Je me suis dit que je fais quelque chose que les gens suivent. Alors je dois continuer », dit-elle.
Avant de passer le flambeau au super lauréat des Top 10 de la Mode Ivoirienne 2017, Fatim Sydney salue les initiateurs de cet évènement. « Je tiens à adresser mes encouragements à Kifack Média Mode avec à sa tête Kifack Beyrouth. Je sais que ce n’est pas facile d’organiser ce genre d’activité. Je souhaite qu’il y ait une bonne volonté politique derrière tout ça. Pour ma part, le bilan est positif pour mon année de consécration. C’est une belle casquette que je porterai fièrement toute ma vie », se réjouit Fatim Sysdney.
Fatim Sydney n’a plus ses 17 ans. Elle a aussi pris quelques kilos. Mais pendant ses rares apparitions sur les podiums de défilé, Fatim épate, émerveille. Elle est énergique et sympa à voir. « Je tire ma joie et mon énergie sur les T de ma passion. J’aime dire à mes collaborateurs : engagez-vous dans ce que vous aimez. Comme cela, ça ne vous pèsera pas en le faisant. A la base, aucun métier n’est facile. Mais c’est moins contraignant quand on choisit de se lancer dans ce qu’on aime», explique le top model ivoirien. Là où certains mannequins sont crispés et hésitants sur le podium, Fatim se la joue zen et décontracté comme la vie de tous les jours. Mais son action dans le milieu ne se limite pas seulement aux défilés. Elle règlemente le secteur du mannequinat avec son agence Sydney Conceptuel et le Réseau des agences et mannequins de Côte d’Ivoire (RAM-CI) qu’elle a mis sur pied il y a quelques années. Fatim valorise également les mannequins à travers son émission télé ‘’La saga des mannequins’’ et son event ‘’Les Awards du mannequinat’’ au cours duquel, elle récompense les rois et reines du T, anciens et jeunes compris. C’est pour toutes ces raisons que Le Top 10 de la Mode ivoirienne l’a consacrée Personnalité Mode de l’année 2016. A quelques jours de sa succession, la patronne de Sydney Conceptuel dit être fière de cette reconnaissance. « A dire vrai, j’étais très étonnée d’être primée. En même temps, je me suis dit après, que si on me l’a attribué, c’est que je le mérite. Et plus qu’une reconnaissance de mon travail, je l’ai pris comme une invite à redoubler d’effort dans ce que je fais. D’autant plus que je venais après des noms célèbres comme Gilles Touré et Isabelle Anoh », dit Fatim Sydney. Qui poursuit : «Je suis aussi heureuse du fait que les gens ont compris le combat que je mène. Mais cela voudrait également dire que je n’avais pas droit à l’erreur. Le Top 10 de la Mode ivoirienne est une consécration pour un travail accompli. Mais pour moi, c’est plus un encouragement pour un nouvel élan. Et ce n’est pas quand je prends mon élan et que les gens m’encouragent que je vais baisser les bras. Au contraire, ça me met une pression énorme de devoir faire plus, faire mieux ».
La trentaine bien entamée, La personnalité Mode de 2016 en Côte d’ivoire avoue avoir eu beaucoup de chance. Car, très souvent sous cieux, les récompenses vont aux personnes d’un certain âge. Aujourd’hui, Kifact Media Mode, l’initiateur du prix a changé la donne. Seul le mérite est salué. Pas seulement la durée. Ce qui est intéressant dans ce gens de distinction, c’est qu’on en tire toujours quelque chose de positif. Et Fatim ne dit pas le contraire. « Participer à des compétitions est une bonne chose. Qu’on soit primé ou non, on en sort grandi en ce sens que les prix viennent témoigner un parcours, un vécu, une histoire », soutient-elle.
De ses débuts à 17 ans chez Etienne Marcel à Abidjan à Manchester en Angleterre en passant par Afrique Agence et Top Model Afrique, Fatim Sidimé dite Fatim Sydney écrit tant bien que mal son nom dans le livre d’or des grands acteurs de la mode en Côte d’Ivoire. Pour tenir le cap, elle bouge, bouge comme le chante Magic System. En attendant de lancer officiellement sa ligne de vêtements, elle fait la télé, coordonne les activités du RAM-CI et pilote Les Awards du mannequinat. Pour pouvoir assurer et superviser tous ces boulots, il faut être soi-même soutenu. C’est pour cela que Fatim tire son foulard au Top 10 de la Mode Ivoirienne. « Ce prix m’a beaucoup apporté. Il m’a solidifiée. Je me suis dit que je fais quelque chose que les gens suivent. Alors je dois continuer », dit-elle.
Avant de passer le flambeau au super lauréat des Top 10 de la Mode Ivoirienne 2017, Fatim Sydney salue les initiateurs de cet évènement. « Je tiens à adresser mes encouragements à Kifack Média Mode avec à sa tête Kifack Beyrouth. Je sais que ce n’est pas facile d’organiser ce genre d’activité. Je souhaite qu’il y ait une bonne volonté politique derrière tout ça. Pour ma part, le bilan est positif pour mon année de consécration. C’est une belle casquette que je porterai fièrement toute ma vie », se réjouit Fatim Sysdney.