ABIDJAN - La Côte d'Ivoire et le Ghana ont signé mardi un "accord de partenariat stratégique" visant à donner un nouvel élan à la coopération entre les deux Etats.
L'accord a été signé mardi à Accra, capitale ghanéenne, au cours d'une visite de 48 heures entamée lundi par le président ivoirien Alassane Ouattara dans le pays partenaire, a indiqué la présidence ivoirienne.
Cet accord a pour objectif d'"insuffler une nouvelle dynamique" à la coopération ivoiro-ghanéenne.
L'accord porte sur l'économie du cacao, dont la Côte d'Ivoire et le Ghana sont respectivement premier et deuxième producteur mondial, mais aussi sur l'anacarde et autres produits stratégiques.
L'accord s'intéresse également à des domaines tels que la défense et la sécurité, la coopération maritime, les mines, l'énergie et l'environnement, le transport et les politiques économiques.
Les deux pays ont, en outre, procédé à la signature de trois mémorandums d'entente portant sur la coopération dans le domaine industriel, sur l'éradication de la pollution issue des activités illicites d'orpaillage dans le bassin versant des fleuves Bia et Tanoé traversant les deux Etats, et sur la coopération dans les domaines de la géologie et des ressources minières.
Un différend sur le tracé de leur frontière maritime, riche en gisements de pétrole, opposait la Côte d'Ivoire et le Ghana.
Le 23 septembre, trois ans après sa saisine par le Ghana, le Tribunal international du droit de la mer, basé en Allemagne, a tranché en faveur du Ghana, estimant que ce pays n'avait pas violé les droits souverains de la Côte d'Ivoire en exploitant le pétrole dans la zone contestée, où se trouve une réserve estimée à deux milliards de barils de pétrole.
Le gouvernement ivoirien a accepté la décision et assuré qu'il allait la mettre en oeuvre.
La Côte d'Ivoire produit environ 45.000 barils par jour contre une production ghanéenne estimée à 100.000 barils par jour.
L'accord a été signé mardi à Accra, capitale ghanéenne, au cours d'une visite de 48 heures entamée lundi par le président ivoirien Alassane Ouattara dans le pays partenaire, a indiqué la présidence ivoirienne.
Cet accord a pour objectif d'"insuffler une nouvelle dynamique" à la coopération ivoiro-ghanéenne.
L'accord porte sur l'économie du cacao, dont la Côte d'Ivoire et le Ghana sont respectivement premier et deuxième producteur mondial, mais aussi sur l'anacarde et autres produits stratégiques.
L'accord s'intéresse également à des domaines tels que la défense et la sécurité, la coopération maritime, les mines, l'énergie et l'environnement, le transport et les politiques économiques.
Les deux pays ont, en outre, procédé à la signature de trois mémorandums d'entente portant sur la coopération dans le domaine industriel, sur l'éradication de la pollution issue des activités illicites d'orpaillage dans le bassin versant des fleuves Bia et Tanoé traversant les deux Etats, et sur la coopération dans les domaines de la géologie et des ressources minières.
Un différend sur le tracé de leur frontière maritime, riche en gisements de pétrole, opposait la Côte d'Ivoire et le Ghana.
Le 23 septembre, trois ans après sa saisine par le Ghana, le Tribunal international du droit de la mer, basé en Allemagne, a tranché en faveur du Ghana, estimant que ce pays n'avait pas violé les droits souverains de la Côte d'Ivoire en exploitant le pétrole dans la zone contestée, où se trouve une réserve estimée à deux milliards de barils de pétrole.
Le gouvernement ivoirien a accepté la décision et assuré qu'il allait la mettre en oeuvre.
La Côte d'Ivoire produit environ 45.000 barils par jour contre une production ghanéenne estimée à 100.000 barils par jour.