Du mercredi 25 au vendredi 27 octobre 2017 se tiendra à Grand-Bassam, le 2e Congrès de la Société ivoirienne de médecine du travail. Elle réunira près de 200 médecins et autres spécialistes ivoiriens et de plusieurs pays africains. C’est ce qu’a annoncé Dr Bonny Jean-Sylvain, président de la Société ivoirienne de médecine de travail (Simt), lors de la conférence de presse de lancement qu’il a animée le mercredi 18 octobre 2017, à la salle de Conférence de la Faculté de médecine de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Le thème de cette édition sera “Maladies chroniques et travail’’. Trois autres sous-thèmes seront traités, si l’on en croit le Dr Bonny. A savoir, “surveillance médicale des travailleurs atteints de maladies chroniques“, “aspects socioéconomiques des maladies chroniques (productivité, couvertures médicales)’’ et enfin “collaboration directeurs des ressources humaine (DRH)-médecins traitant-médecins du travail dans la gestion des maladies chroniques“. A travers ces thèmes, les organisateurs visent à renforcer les capacités des participants en vue d’améliorer la prise en charge médicale, médico-légale et socio-économique des malades chroniques (atteints de maladies cardio-vasculaires, insuffisance rénale, et autres maux mortels nécessitant de gros moyens. Ndlr) en milieu de travail. « Les maladies chroniques ont des répercutions énormes sur la santé, l’économie et le potentiel humain des entreprises. Elles peuvent entraîner des charges sociales et économiques considérables en raison de l’absentéisme, de la perte d’emploi, et des dépenses médicales coûteuses ainsi que des responsabilités accrues en termes de prestation de soins ou même la mort d’une personne, espoir de plusieurs familles. (…) Ce type de maladie se traduit aussi par une baisse de la productivité de l’employer, donc, pour l’entreprise, une baisse des rendements des investissements en capital humain et l’augmentation des coûts des soins de santé. On estime que si rien ne change dans les pays à faible revenu, les pertes économiques cumulées s’élèveront à environ 7000 milliards de Dollars américain, soit environ 3850 000 milliards F CFA) pour la période 2011-2025 », a révélé le Dr Bonny Jean-Sylvain. Les participants viendront de toute la sous-région ouest-africaine, mais également de pays d’Afrique centrale tels que le Cameroun et le Gabon. Sont concernés par le Congrès, les professionnels de sécurité et santé au travail (médecins, infirmiers, chargés de sécurité, hygiénistes du travail, contrôleurs en prévention, toxicologues, etc), des chefs d’entreprises et directeurs des ressources humaines, ainsi que les organisations syndicales de travailleurs. L’Organisation mondiale de la santé (Oms) prononcera « la conférence inaugurale. « Sur les 28 millions de cas de décès prématurés enregistrés dans le monde par an, près des ¾ sont dus aux maladies dites chroniques. 82 % des cas des 16 millions de décès prématurés surviennent chez des personnes à revenu faible ou intermédiaire », a conclu le président de la Société ivoirienne de médecine de travail.
Alex A
Le thème de cette édition sera “Maladies chroniques et travail’’. Trois autres sous-thèmes seront traités, si l’on en croit le Dr Bonny. A savoir, “surveillance médicale des travailleurs atteints de maladies chroniques“, “aspects socioéconomiques des maladies chroniques (productivité, couvertures médicales)’’ et enfin “collaboration directeurs des ressources humaine (DRH)-médecins traitant-médecins du travail dans la gestion des maladies chroniques“. A travers ces thèmes, les organisateurs visent à renforcer les capacités des participants en vue d’améliorer la prise en charge médicale, médico-légale et socio-économique des malades chroniques (atteints de maladies cardio-vasculaires, insuffisance rénale, et autres maux mortels nécessitant de gros moyens. Ndlr) en milieu de travail. « Les maladies chroniques ont des répercutions énormes sur la santé, l’économie et le potentiel humain des entreprises. Elles peuvent entraîner des charges sociales et économiques considérables en raison de l’absentéisme, de la perte d’emploi, et des dépenses médicales coûteuses ainsi que des responsabilités accrues en termes de prestation de soins ou même la mort d’une personne, espoir de plusieurs familles. (…) Ce type de maladie se traduit aussi par une baisse de la productivité de l’employer, donc, pour l’entreprise, une baisse des rendements des investissements en capital humain et l’augmentation des coûts des soins de santé. On estime que si rien ne change dans les pays à faible revenu, les pertes économiques cumulées s’élèveront à environ 7000 milliards de Dollars américain, soit environ 3850 000 milliards F CFA) pour la période 2011-2025 », a révélé le Dr Bonny Jean-Sylvain. Les participants viendront de toute la sous-région ouest-africaine, mais également de pays d’Afrique centrale tels que le Cameroun et le Gabon. Sont concernés par le Congrès, les professionnels de sécurité et santé au travail (médecins, infirmiers, chargés de sécurité, hygiénistes du travail, contrôleurs en prévention, toxicologues, etc), des chefs d’entreprises et directeurs des ressources humaines, ainsi que les organisations syndicales de travailleurs. L’Organisation mondiale de la santé (Oms) prononcera « la conférence inaugurale. « Sur les 28 millions de cas de décès prématurés enregistrés dans le monde par an, près des ¾ sont dus aux maladies dites chroniques. 82 % des cas des 16 millions de décès prématurés surviennent chez des personnes à revenu faible ou intermédiaire », a conclu le président de la Société ivoirienne de médecine de travail.
Alex A