Abidjan, 20 Oct (AIP) – Un atelier sur la réalisation de la cartographie de la vulnérabilité et de l’évaluation des risques (VRAM) veut mettre en œuvre un plan opérationnel pour réduire les menaces infectieuses en Côte d’Ivoire.
L’élaboration et la planification des outils de collecte des données constituent un axe prioritaire de ce projet qui réunit une équipe multisectorielle composé des représentants des différents ministères à Grand Bassam, sur l’initiative du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP) avec l’appui de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Pour le chargé de préparation aux urgences de l’OMS, Dr Gervais Folefack Tengomo, cette initiative prend compte l’identification des menaces de santé, des facteurs de vulnérabilité et des capacités sanitaires en Côte d’Ivoire pour prévenir et faire face aux urgences sanitaires.
Pour mieux allouer les ressources et conter les risques sanitaires, l’état ivoirien doit tenir compte dans sa planification, des indicateurs et des clés liés aux éléments de vulnérabilité des régions, selon Dr Ngoy Njenga du bureau régional pour l’Afrique de l’OMS, l'un des planificateurs de ce séminaire.
Débuté lundi à l’hôtel N'sa Hôtel de Grand Bassam, ce séminaire qui répond à une exigence de la 62eme session du comité régional de l’OMS pour l’Afrique, prend fin ce vendredi. Ce processus VRAM va compléter les résultats obtenus à l’issue de l’atelier d'identification des menaces prioritaires liés aux risques de santé, qui s’est tenu à Yamoussoukro, du 22 au 25 mai dernier, rappelle-t-on.
(AIP)
nmfa/kam
L’élaboration et la planification des outils de collecte des données constituent un axe prioritaire de ce projet qui réunit une équipe multisectorielle composé des représentants des différents ministères à Grand Bassam, sur l’initiative du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP) avec l’appui de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Pour le chargé de préparation aux urgences de l’OMS, Dr Gervais Folefack Tengomo, cette initiative prend compte l’identification des menaces de santé, des facteurs de vulnérabilité et des capacités sanitaires en Côte d’Ivoire pour prévenir et faire face aux urgences sanitaires.
Pour mieux allouer les ressources et conter les risques sanitaires, l’état ivoirien doit tenir compte dans sa planification, des indicateurs et des clés liés aux éléments de vulnérabilité des régions, selon Dr Ngoy Njenga du bureau régional pour l’Afrique de l’OMS, l'un des planificateurs de ce séminaire.
Débuté lundi à l’hôtel N'sa Hôtel de Grand Bassam, ce séminaire qui répond à une exigence de la 62eme session du comité régional de l’OMS pour l’Afrique, prend fin ce vendredi. Ce processus VRAM va compléter les résultats obtenus à l’issue de l’atelier d'identification des menaces prioritaires liés aux risques de santé, qui s’est tenu à Yamoussoukro, du 22 au 25 mai dernier, rappelle-t-on.
(AIP)
nmfa/kam