Abidjan - La Bourse d’Abidjan, sixième place financière d’Afrique, reste "attractive" en 2017, après l’admission de sept sociétés en quatre ans, a estimé mardi son directeur, Edoh Kossi Amenouvé.
"La BRVM" (Bourse régionale des valeurs mobilières) se porte bien. Nous sommes heureux de voir que depuis quatre ans, nous avons sept sociétés qui se sont fait coter et, probablement, une huitième qui viendra dans les mois à venir", a déclaré à l’AFP M. Amenouvé.
"Nos indices ont progressé de façon cumulée de 88% depuis 2012. Cela démontre que notre Bourse reste attractive et intéresse davantage les sociétés et c’est un indicateur majeur".
Toutefois, l’établissement connaît depuis 2015 une baisse de la capitalisation, liée au fait que des investisseurs qui ont participé à la dynamique de reprise du marché depuis 2011, ont suffisamment engrangé des bénéfices et souhaiteraient sortir pour pouvoir profiter des gains.
"Nous sommes dans une phase de prise de bénéfices qui permet à ceux qui ont suffisamment gagné de profiter. Et nous allons retrouver une phase de croissance des indices, du fait de nouveaux actionnaires qui viendront racheter des titres sur le marché", a poursuivi M. Amenouvé.
La BRVM , la sixième Bourse sur les 24 d’Afrique, représente également 11% du PIB de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa, organe de gestion du franc CFA), une taille suffisante pour être "un marché porteur de croissance".
L’ambition de la Bourse d’Abidjan "est d’accueillir de nouvelles sociétés, en augmentant la capitalisation de notre marché et en attirant de plus en plus d’entreprises du secteur privé et particulièrement des PME", selon son directeur.
L’Uemoa regroupe sept pays francophones d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal et Togo) ainsi que la Guinée Bissau (lusophone), pour un bassin de population de 90 millions d’habitants.
ck/jh
"La BRVM" (Bourse régionale des valeurs mobilières) se porte bien. Nous sommes heureux de voir que depuis quatre ans, nous avons sept sociétés qui se sont fait coter et, probablement, une huitième qui viendra dans les mois à venir", a déclaré à l’AFP M. Amenouvé.
"Nos indices ont progressé de façon cumulée de 88% depuis 2012. Cela démontre que notre Bourse reste attractive et intéresse davantage les sociétés et c’est un indicateur majeur".
Toutefois, l’établissement connaît depuis 2015 une baisse de la capitalisation, liée au fait que des investisseurs qui ont participé à la dynamique de reprise du marché depuis 2011, ont suffisamment engrangé des bénéfices et souhaiteraient sortir pour pouvoir profiter des gains.
"Nous sommes dans une phase de prise de bénéfices qui permet à ceux qui ont suffisamment gagné de profiter. Et nous allons retrouver une phase de croissance des indices, du fait de nouveaux actionnaires qui viendront racheter des titres sur le marché", a poursuivi M. Amenouvé.
La BRVM , la sixième Bourse sur les 24 d’Afrique, représente également 11% du PIB de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa, organe de gestion du franc CFA), une taille suffisante pour être "un marché porteur de croissance".
L’ambition de la Bourse d’Abidjan "est d’accueillir de nouvelles sociétés, en augmentant la capitalisation de notre marché et en attirant de plus en plus d’entreprises du secteur privé et particulièrement des PME", selon son directeur.
L’Uemoa regroupe sept pays francophones d’Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal et Togo) ainsi que la Guinée Bissau (lusophone), pour un bassin de population de 90 millions d’habitants.
ck/jh