Bingerville - Le coordonnateur du comité national de lutte contre la contrefaçon (CNLC), le colonel Bahin Lejeune, a appelé à faire de la lutte contre la fraude et la contrefaçon "une cause nationale", afin que la Côte d’Ivoire soit "véritablement émergente" d’ici à 2020.
"Nous de devons faire de la lutte contre la fraude une cause nationale pour que ce pays puisse être véritablement émergent d’ici quelques années », a affirmé le colonel Bahin Lejeune, vendredi, à l’espace Latrille Events lors de la cérémonie de clôture de la 3e édition du salon international de l’originalité d’Abidjan (ORIGIGI).
Selon M. Bahin, par ailleurs président du comité d’organisation de ce 3e salon, il est possible de venir à bout de la fraude et de la contrefaçon. Il suffit pour cela, selon lui, "d’identifier les poches de fraude avec les acteurs, leurs méthodes et que l’Etat donne les moyens pour les combattre".
"Nous n’avons pas besoin de prendre des dettes ici et là. Ce pays a beaucoup de chances. Nous avons toutes les potentialités. Si nous arrivons à capter 50% de toutes les déperditions dues à la fraude, nous pouvons passer de plus de 6000 à 8000 milliards", a-t-il déclaré, plaidant pour l’institutionnalisation du salon ORIGIGI avec la régie GAD, initiatrice du projet.
Créé le 23 décembre 2013 et installé le 26 novembre 2015 par le ministère de l’Industrie et des Mines, le comité de lutte contre la contrefaçon a pour mission de lutter contre la contrefaçon et le piratage sur toute l’étendue du territoire national.
Sn/kp
"Nous de devons faire de la lutte contre la fraude une cause nationale pour que ce pays puisse être véritablement émergent d’ici quelques années », a affirmé le colonel Bahin Lejeune, vendredi, à l’espace Latrille Events lors de la cérémonie de clôture de la 3e édition du salon international de l’originalité d’Abidjan (ORIGIGI).
Selon M. Bahin, par ailleurs président du comité d’organisation de ce 3e salon, il est possible de venir à bout de la fraude et de la contrefaçon. Il suffit pour cela, selon lui, "d’identifier les poches de fraude avec les acteurs, leurs méthodes et que l’Etat donne les moyens pour les combattre".
"Nous n’avons pas besoin de prendre des dettes ici et là. Ce pays a beaucoup de chances. Nous avons toutes les potentialités. Si nous arrivons à capter 50% de toutes les déperditions dues à la fraude, nous pouvons passer de plus de 6000 à 8000 milliards", a-t-il déclaré, plaidant pour l’institutionnalisation du salon ORIGIGI avec la régie GAD, initiatrice du projet.
Créé le 23 décembre 2013 et installé le 26 novembre 2015 par le ministère de l’Industrie et des Mines, le comité de lutte contre la contrefaçon a pour mission de lutter contre la contrefaçon et le piratage sur toute l’étendue du territoire national.
Sn/kp
