Abidjan - Le ministre des Infrastructures économiques, Amédé Kouakou a promis mardi que désormais les routes en construction vont tenir dans le temps précisant que des mesures ont été prises pour garantir cette durabilité.
«Vous verrez que désormais les nouvelles vont tenir dans le temps. Nous nous engageons à faire toutes les vérifications à l’avance », a indiqué le ministre, lors d’une visite pour s’imprégner de la reprise des travaux sur le boulevard de France.
Amédé Kouakou a promis qu’avant d’attribuer un marché, ses services tiennent compte de la capacité des entreprises à faire le travail, des bureaux d’études et de contrôles.
«Depuis que le Chef de l’Etat a décidé que toutes les entreprises qui font des travaux non conformes soient sanctionnées, nous avons changé l’ensemble du dispositif. Nous regardons maintenant la capacité des entreprises à faire le travail, des bureaux d’études et de contrôles. Nous sommes très regardants sur certains nombres de dispositions pratiques. Ce n’est pas la première fois qu’on construit des routes en Côte d’Ivoire. On a construit des routes qui ont duré pendant 15, 20 et 30 ans », a-t-il expliqué.
Le 30 mars 2017, le Conseil des ministres en Côte d’Ivoire a adopté une communication relative au renforcement des sanctions à l’encontre des acteurs de la chaîne de réalisation des travaux routiers en vue d’emmener ces acteurs à plus de responsabilité dans la conduite de leurs missions et de prémunir le maître d’ouvrage contre les risques de dégradations précoces des infrastructures réalisées.
Ainsi, il a été décidé de renforcer les sanctions à l’encontre des opérateurs du secteur convaincus de manquement à leurs obligations contractuelles.
«Les investissements de voiries sont très importants et il faut que ces infrastructures soient durables », a prévenu le ministre des Infrastructures économiques.
bsp/fmo
«Vous verrez que désormais les nouvelles vont tenir dans le temps. Nous nous engageons à faire toutes les vérifications à l’avance », a indiqué le ministre, lors d’une visite pour s’imprégner de la reprise des travaux sur le boulevard de France.
Amédé Kouakou a promis qu’avant d’attribuer un marché, ses services tiennent compte de la capacité des entreprises à faire le travail, des bureaux d’études et de contrôles.
«Depuis que le Chef de l’Etat a décidé que toutes les entreprises qui font des travaux non conformes soient sanctionnées, nous avons changé l’ensemble du dispositif. Nous regardons maintenant la capacité des entreprises à faire le travail, des bureaux d’études et de contrôles. Nous sommes très regardants sur certains nombres de dispositions pratiques. Ce n’est pas la première fois qu’on construit des routes en Côte d’Ivoire. On a construit des routes qui ont duré pendant 15, 20 et 30 ans », a-t-il expliqué.
Le 30 mars 2017, le Conseil des ministres en Côte d’Ivoire a adopté une communication relative au renforcement des sanctions à l’encontre des acteurs de la chaîne de réalisation des travaux routiers en vue d’emmener ces acteurs à plus de responsabilité dans la conduite de leurs missions et de prémunir le maître d’ouvrage contre les risques de dégradations précoces des infrastructures réalisées.
Ainsi, il a été décidé de renforcer les sanctions à l’encontre des opérateurs du secteur convaincus de manquement à leurs obligations contractuelles.
«Les investissements de voiries sont très importants et il faut que ces infrastructures soient durables », a prévenu le ministre des Infrastructures économiques.
bsp/fmo