Abidjan - Le ministre des Infrastructures économiques, Amédé Kouakou a effectué mardi une visite sur le boulevard de France pour s’imprégner de la reprise des travaux sur des parties de ce tronçon par l’entreprise Dtpci en charge du chantier à la suite des dégradations constatées sur cette voie, livrée seulement à peine neuf mois.
«L’entreprise s’est engagée à faire un certain nombre de travaux. Elle a mis une nouvelle couche sur l’ensemble du tronçon. Nous sommes venus nous assurer que le tronçon est bien mis en œuvre. Nous espérons que cette fois sera la bonne et que le revêtement qui est en train d’être mis en place, va tenir longtemps », a souhaité le ministre des Infrastructures économiques.
En effet, le Conseil des ministres du 30 mars a adopté une communication relative au renforcement des sanctions à l’encontre des acteurs de la chaîne de réalisation des travaux routiers en vue d’emmener ces acteurs à plus de responsabilité dans la conduite de leurs missions et de prémunir le maître d’ouvrage contre les risques de dégradations précoces des infrastructures réalisées. Ainsi, il a été décidé de renforcer les sanctions à l’encontre des opérateurs du secteur convaincus de manquement à leurs obligations contractuelles.
«Chaque fois qu’une entreprise va faire des travaux qui ne sont pas conformes, elle va réhabiliter la voie. C’est ce que cette entreprise est en train de faire », a indiqué M. Kouakou.
Selon le ministre, les analyses effectuées par l’entreprise en charge des travaux et le Laboratoire du bâtiment et des travaux publics (LBTP) à la suite de la dégradation de cette route relèvent un problème de conception et de normes qui n’ont pas été respectées.
«Il y avait un inconfort et c’est pourquoi l’entreprise est en train de faire les réparations. Mais dans les six mois à venir, s’il y a encore des dégradations, l’entreprise va reprendre les travaux », a prévenu le ministre.
D’une longueur totale de 5,5 Km dans la commune de Cocody, le boulevard de France construite en 2×2 voies traverse successivement le quartier de la Riviera Golf, le village d’Anono et l’Ivoire Golf Club pour se raccorder sur la voie d’accès au village de M’Badon, rappelle-t-on.
Le conseil des ministres du 30 mars précise également qu’en cas de dégradations liées à une insuffisance de supervision, le chef de projet qui en a assuré la supervision pour le compte du maître d’ouvrage délégué sera sanctionné pour faute lourde, conformément aux dispositions du Code du travail.
bsp/fmo
«L’entreprise s’est engagée à faire un certain nombre de travaux. Elle a mis une nouvelle couche sur l’ensemble du tronçon. Nous sommes venus nous assurer que le tronçon est bien mis en œuvre. Nous espérons que cette fois sera la bonne et que le revêtement qui est en train d’être mis en place, va tenir longtemps », a souhaité le ministre des Infrastructures économiques.
En effet, le Conseil des ministres du 30 mars a adopté une communication relative au renforcement des sanctions à l’encontre des acteurs de la chaîne de réalisation des travaux routiers en vue d’emmener ces acteurs à plus de responsabilité dans la conduite de leurs missions et de prémunir le maître d’ouvrage contre les risques de dégradations précoces des infrastructures réalisées. Ainsi, il a été décidé de renforcer les sanctions à l’encontre des opérateurs du secteur convaincus de manquement à leurs obligations contractuelles.
«Chaque fois qu’une entreprise va faire des travaux qui ne sont pas conformes, elle va réhabiliter la voie. C’est ce que cette entreprise est en train de faire », a indiqué M. Kouakou.
Selon le ministre, les analyses effectuées par l’entreprise en charge des travaux et le Laboratoire du bâtiment et des travaux publics (LBTP) à la suite de la dégradation de cette route relèvent un problème de conception et de normes qui n’ont pas été respectées.
«Il y avait un inconfort et c’est pourquoi l’entreprise est en train de faire les réparations. Mais dans les six mois à venir, s’il y a encore des dégradations, l’entreprise va reprendre les travaux », a prévenu le ministre.
D’une longueur totale de 5,5 Km dans la commune de Cocody, le boulevard de France construite en 2×2 voies traverse successivement le quartier de la Riviera Golf, le village d’Anono et l’Ivoire Golf Club pour se raccorder sur la voie d’accès au village de M’Badon, rappelle-t-on.
Le conseil des ministres du 30 mars précise également qu’en cas de dégradations liées à une insuffisance de supervision, le chef de projet qui en a assuré la supervision pour le compte du maître d’ouvrage délégué sera sanctionné pour faute lourde, conformément aux dispositions du Code du travail.
bsp/fmo