Dans le cadre du respect du règlement N°14/2005/ CM/Uemoa, relatif à l’harmonisation des normes et des procédures du contrôle du gabarit du poids lourd et de la charge à l'essieu des véhicules lourds de transport de marchandises dans les États-membres de l'Uemoa, une campagne de sensibilisation a été menée auprès des transporteurs le mercredi 1er novembre 2017, dans un espace d'Adjamé- Attécoubé.
À cette occasion, Diaby Ibrahim, directeur Général du Haut conseil du patronat des entreprises de transporteurs routiers de Côte d’Ivoire, a fait savoir que la mentalité des transporteurs doit évoluer avec le monde. Le phénomène de surcharge présente, selon lui, plusieurs effets néfastes sur le développement du pays tels que la dégradation des routes, l’augmentation du taux d’accidents de routes qui entraînent souvent des milliers de morts et blessés graves. Selon lui, il est donc temps de changer de mentalités en respectant les règles. « Le règlement 14 de l'Uemoa constitue un bien pour tous. Si le gouvernement prend des engagements pour notre bien-être, il faut qu’à notre tour, nous puissions prendre nos responsabilités et que nous soyons nos propres conseillers. Il faut que nous adressions un message fort au gouvernement », a-t-il recommandé. Poursuivant, il a invité tous les transporteurs à s’inscrire dans cette nouvelle vision. Et d'ajouter : « Redressez-vous ! Créez des cadres de discussions, des prises de décisions pour être plus responsables. Il est temps que vous vous réveilliez et que vous arrêtiez de vous négliger. Un transporteur n'est pas n'importe qui. Nous devons marquer notre place dans le développement économique du pays ». Vaffi Koné, président de la confédération des syndicats des conducteurs de l’Afrique de l’ouest (Cscrao) a abondé dans le même sens que son prédécesseur. Il a donc lancé un message dans lequel il dit : « Nous ne voulons plus de surcharge à partir d’aujourd’hui ». C’est selon lui la première journée de sensibilisation des transporteurs sur le respect du règlement 14 de l'Uemoa.
OD avec AS
À cette occasion, Diaby Ibrahim, directeur Général du Haut conseil du patronat des entreprises de transporteurs routiers de Côte d’Ivoire, a fait savoir que la mentalité des transporteurs doit évoluer avec le monde. Le phénomène de surcharge présente, selon lui, plusieurs effets néfastes sur le développement du pays tels que la dégradation des routes, l’augmentation du taux d’accidents de routes qui entraînent souvent des milliers de morts et blessés graves. Selon lui, il est donc temps de changer de mentalités en respectant les règles. « Le règlement 14 de l'Uemoa constitue un bien pour tous. Si le gouvernement prend des engagements pour notre bien-être, il faut qu’à notre tour, nous puissions prendre nos responsabilités et que nous soyons nos propres conseillers. Il faut que nous adressions un message fort au gouvernement », a-t-il recommandé. Poursuivant, il a invité tous les transporteurs à s’inscrire dans cette nouvelle vision. Et d'ajouter : « Redressez-vous ! Créez des cadres de discussions, des prises de décisions pour être plus responsables. Il est temps que vous vous réveilliez et que vous arrêtiez de vous négliger. Un transporteur n'est pas n'importe qui. Nous devons marquer notre place dans le développement économique du pays ». Vaffi Koné, président de la confédération des syndicats des conducteurs de l’Afrique de l’ouest (Cscrao) a abondé dans le même sens que son prédécesseur. Il a donc lancé un message dans lequel il dit : « Nous ne voulons plus de surcharge à partir d’aujourd’hui ». C’est selon lui la première journée de sensibilisation des transporteurs sur le respect du règlement 14 de l'Uemoa.
OD avec AS
