Dans l’optique d’estimer la prévalence de l’hypertension artérielle au sein d’une population jeune, notamment des étudiants et assurer un meilleur suivi des malades, la Fondation Cœur de grâce et la Fondation Orange Côte d’Ivoire ont procédé, jeudi 09 novembre 2017, au lancement d’une campagne de dépistage de l’hypertension artérielle, au profit des étudiants de l’Inp-HB de Yamoussoukro.
Prévue du du 16 novembre au 02 décembre 2017, cette campagne vise quelques 3500 étudiants et servira de base à une étude transversale réalisée auprès de ces étudiants sur une période de 12 mois pour l’établissement d’une base de données.
Pour le Pr. Iklo Coulibaly, cardiologue, vice-président de la Fondation Cœur de grâce, le partenariat avec la Fondation Orange Côte d’Ivoire n’est pas fortuit. «Nous nous sommes rendus compte que dans les axes de la fondation partenaire, il y en a un qui est consacré à la santé. Et nous, en tant que fondation s’intéressant aux problèmes de santé, nous avons trouvé opportun de lui soumettre notre projet qui a rencontré son assentiment ».
Pour sa part, Joseph Pitah, directeur du comité de gestion de la fondation partenaire, s’est dit heureux de s’engager sur ce projet. «La santé est un axe vraiment important pour nous. Et tout ce qui touche le cœur nous intéresse. Aujourd’hui nous sommes avec la Fondation Cœur de grâce pour son idée », a-t-il confié. Pour lui, il est bien de vouloir mettre des plans d’action, mais il faut avoir des données qui le permettent.
Fd source Sercom
Prévue du du 16 novembre au 02 décembre 2017, cette campagne vise quelques 3500 étudiants et servira de base à une étude transversale réalisée auprès de ces étudiants sur une période de 12 mois pour l’établissement d’une base de données.
Pour le Pr. Iklo Coulibaly, cardiologue, vice-président de la Fondation Cœur de grâce, le partenariat avec la Fondation Orange Côte d’Ivoire n’est pas fortuit. «Nous nous sommes rendus compte que dans les axes de la fondation partenaire, il y en a un qui est consacré à la santé. Et nous, en tant que fondation s’intéressant aux problèmes de santé, nous avons trouvé opportun de lui soumettre notre projet qui a rencontré son assentiment ».
Pour sa part, Joseph Pitah, directeur du comité de gestion de la fondation partenaire, s’est dit heureux de s’engager sur ce projet. «La santé est un axe vraiment important pour nous. Et tout ce qui touche le cœur nous intéresse. Aujourd’hui nous sommes avec la Fondation Cœur de grâce pour son idée », a-t-il confié. Pour lui, il est bien de vouloir mettre des plans d’action, mais il faut avoir des données qui le permettent.
Fd source Sercom