Abidjan - Le ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani veut expérimenter le broyeur polyvalent issu d’une technologie mise au point par Naaba Sigri de Saponé, un innovateur burkinabé dans le secteur de l’élevage en Côte d’Ivoire.
«C’est une technologie traditionnelle certes mais qui prend l’allure moderne. Et je crois qu’en étant ici, nous allons nous inspirer de leur modèle pour asseoir la même chose ici en Côte d’Ivoire. Nous allons discuter avec nos producteurs », a indiqué samedi le ministre ivoirien lors d’une visite sur le stand burkinabé au Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan 2017 (Sara).
Adjoumani qui était accompagné de son homologue burkinabé a promis que la Côte d’Ivoire s’inspirera de ce modèle pour développer son secteur de l’élevage confronté tout comme celui du Burkina Faso à la cruciale question de l’alimentation du bétail. «Nous allons constituer un échantillon à partir duquel les autres vont pouvoir faire les importations de ces produits-là qui vont certainement aider nos producteurs à mieux encadrer leurs troupeaux dans le domaine nutritionnel », a souligné le ministre.
Abondant dans le même sens que son homologue ivoirien, le ministre burkinabé des Ressources animales et halieutiques, Sommanogo Koutou a souligné que son pays était disposé à partager cette technologie avec la Côte d’Ivoire, ajoutant qu’elle permet de récupérer les résidus des récoltes.
"Cette technologie a été conçue pour récupérer les résidus pour en, faire une bonne alimentation pour nos animaux. Le SARA étant une tribune d’échanges de technologies, nous avons jugé bon de venir avec cette technologie pour que nous partagions nos expériences", a expliqué le ministre burkinabé.
De son côté le promoteur de cette innovation, Naaba Sigri de Saponé a fait observer qu’avec cette technologie, certains facteurs sociaux comme les conflits entre les éleveurs et les agriculteurs seront de vieux souvenirs.
« Petit à petit nous allons cloisonner nos animaux qui vont consommer convenablement, rationnellement et en stabilisation », a-t-il expliqué, ajoutant qu’un meilleur usage de la défécation pourrait en faire un fertilisant pour les sols en vue d’accroître la production céréalière et entraîner l’autosuffisance alimentaire et la sécurité alimentaire en Afrique.
bsp/kam
«C’est une technologie traditionnelle certes mais qui prend l’allure moderne. Et je crois qu’en étant ici, nous allons nous inspirer de leur modèle pour asseoir la même chose ici en Côte d’Ivoire. Nous allons discuter avec nos producteurs », a indiqué samedi le ministre ivoirien lors d’une visite sur le stand burkinabé au Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan 2017 (Sara).
Adjoumani qui était accompagné de son homologue burkinabé a promis que la Côte d’Ivoire s’inspirera de ce modèle pour développer son secteur de l’élevage confronté tout comme celui du Burkina Faso à la cruciale question de l’alimentation du bétail. «Nous allons constituer un échantillon à partir duquel les autres vont pouvoir faire les importations de ces produits-là qui vont certainement aider nos producteurs à mieux encadrer leurs troupeaux dans le domaine nutritionnel », a souligné le ministre.
Abondant dans le même sens que son homologue ivoirien, le ministre burkinabé des Ressources animales et halieutiques, Sommanogo Koutou a souligné que son pays était disposé à partager cette technologie avec la Côte d’Ivoire, ajoutant qu’elle permet de récupérer les résidus des récoltes.
"Cette technologie a été conçue pour récupérer les résidus pour en, faire une bonne alimentation pour nos animaux. Le SARA étant une tribune d’échanges de technologies, nous avons jugé bon de venir avec cette technologie pour que nous partagions nos expériences", a expliqué le ministre burkinabé.
De son côté le promoteur de cette innovation, Naaba Sigri de Saponé a fait observer qu’avec cette technologie, certains facteurs sociaux comme les conflits entre les éleveurs et les agriculteurs seront de vieux souvenirs.
« Petit à petit nous allons cloisonner nos animaux qui vont consommer convenablement, rationnellement et en stabilisation », a-t-il expliqué, ajoutant qu’un meilleur usage de la défécation pourrait en faire un fertilisant pour les sols en vue d’accroître la production céréalière et entraîner l’autosuffisance alimentaire et la sécurité alimentaire en Afrique.
bsp/kam