Abidjan – Le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly a procédé lundi, au lancement officiel du Business meeting pour le financement de la 2ème génération du Programme national d’investissement agricole (PNIA II, 2018-2025).
A l’occasion d’une table-ronde organisée dans le cadre du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017), le ministre a dressé le bilan du PNIA I lancé en septembre 2012 et qui a enregistré des résultats encourageants.
Avec des intentions de financement d’un montant de 2040 milliards FCFA pour un besoin initial de 2002 milliards FCFA, le PNIA I a mobilisé plus 54% des ressources auprès des partenaires techniques et financiers (PTF).
Le secteur privé et les filières ont mis en œuvre des projets générateurs de richesse partagée, autour de quatre axes, a souligné Sangafowa Coulibaly.
Au regard de ces résultats satisfaisants, le PNIA II poursuit sur cette lancée, s’alignant sur le Plan national de développement (PND 2016-2020), et s’inscrit dans la continuité des politiques régionale et continentale en la matière.
Quatre ministères techniques composant la « grande famille agricole » sont impliqués dans ce Programme. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MINADER), le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts, et le ministère de l’Environnement et du Développement durable.
Le ministre Sangafowa Coulibaly a exprimé sa gratitude à toutes les parties prenantes et a adressé des remerciements particuliers à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour son appui dans le processus de formulation du Programme.
Le PNIA II, courant sur la période 2018-2025, est d’un coût global de 11.905 milliards FCFA dont 4325 milliards attendus des partenaires techniques et financiers, et du secteur privé. Pour la seule période 2018-2020, le Programme recherche 2400 milliards FCFA dont 1400 pour le secteur public et les PTF, a souligné le commissaire technique au MINADER, Dr Nouhoun Coulibaly. Les intentions de financement seront annoncées samedi à la clôture du SARA 2017, a-t-on appris.
cmas
A l’occasion d’une table-ronde organisée dans le cadre du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017), le ministre a dressé le bilan du PNIA I lancé en septembre 2012 et qui a enregistré des résultats encourageants.
Avec des intentions de financement d’un montant de 2040 milliards FCFA pour un besoin initial de 2002 milliards FCFA, le PNIA I a mobilisé plus 54% des ressources auprès des partenaires techniques et financiers (PTF).
Le secteur privé et les filières ont mis en œuvre des projets générateurs de richesse partagée, autour de quatre axes, a souligné Sangafowa Coulibaly.
Au regard de ces résultats satisfaisants, le PNIA II poursuit sur cette lancée, s’alignant sur le Plan national de développement (PND 2016-2020), et s’inscrit dans la continuité des politiques régionale et continentale en la matière.
Quatre ministères techniques composant la « grande famille agricole » sont impliqués dans ce Programme. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MINADER), le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts, et le ministère de l’Environnement et du Développement durable.
Le ministre Sangafowa Coulibaly a exprimé sa gratitude à toutes les parties prenantes et a adressé des remerciements particuliers à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour son appui dans le processus de formulation du Programme.
Le PNIA II, courant sur la période 2018-2025, est d’un coût global de 11.905 milliards FCFA dont 4325 milliards attendus des partenaires techniques et financiers, et du secteur privé. Pour la seule période 2018-2020, le Programme recherche 2400 milliards FCFA dont 1400 pour le secteur public et les PTF, a souligné le commissaire technique au MINADER, Dr Nouhoun Coulibaly. Les intentions de financement seront annoncées samedi à la clôture du SARA 2017, a-t-on appris.
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