Le Directeur général du Conseil Coton Anacarde, le Dr Adama Coulibaly a présenté samedi les potentialités de l’Anacarde et du coton graine ainsi que les opportunités d’investissement dans ces deux filières.
Accompagné du président du Conseil d’Administration dudit Conseil, Bamba Mamadou, le Dr Adama Coulibaly a indiqué que la graine de coton permet de produire de l’huile de table, de faire des beignets, de produire de l’alimentation pour bétail. Ce en plus de l’utilisation de la fibre de coton dans le cadre du textile. A en croire le Dr Adama Coulibaly, la Côte d’Ivoire 4eme productrice de coton au sud du Sahara, compte faire usage de toutes les potentialités qu’offre le coton. Car dira-t-il : ‘’Il renferme d’énormes opportunités’’.
S’il reconnaît que la transformation de l’anacarde qui se situe à ce jour autour de 6% ‘’n’est pas satisfaisante’’, Le DG du Conseil Coton-Anacarde se réjouit cependant des progrès réalisés à ce niveau. ‘’aujourd’hui nous sommes heureux de produire des canettes de jus de pomme d’anacarde’’, s’est-il félicité. De nombreuses initiatives sont en cours pour relever le niveau de transformation de l’anacarde, a laissé entendre le Dr Adama Coulibaly.
L’objectif à court terme est de faire passer le taux de transformation de 6% à 30% à l’horizon 2020. ‘’Nous sommes bien partis, nous avons d’énormes intentions d’investissement en 2018. Au bout de 5 ans nous serons à même d’impulser une dynamique de sorte à parvenir à 100% de transformation dans les années à venir’’, a révélé le Dr Adama Coulibaly.
La filière anacarde reste toutefois confronté à des actes de fraudes. Ainsi sur la dernière campagne, ‘’1300 camions qui ont chargé n’ont pas déchargé’’, à en croire le DG du Conseil Coton-Anacarde. ‘’Nous sommes en train de tracer ces camions et sous peu nous serons en mesure de vous dire ce qu’ils sont devenus’’, s’est-il voulu rassurant.
Le président du Conseil d’Administration du Conseil Coton-Anacarde, Bamba Mamadou a dit sa satisfaction devant l’engouement que suscite le stand du Conseil auprès des visiteurs du SARA. ‘’Je suis totalement satisfait et cela dénote du bon travail de toutes nos équipes’’, a-t-il conclu.
Elisée B.
Accompagné du président du Conseil d’Administration dudit Conseil, Bamba Mamadou, le Dr Adama Coulibaly a indiqué que la graine de coton permet de produire de l’huile de table, de faire des beignets, de produire de l’alimentation pour bétail. Ce en plus de l’utilisation de la fibre de coton dans le cadre du textile. A en croire le Dr Adama Coulibaly, la Côte d’Ivoire 4eme productrice de coton au sud du Sahara, compte faire usage de toutes les potentialités qu’offre le coton. Car dira-t-il : ‘’Il renferme d’énormes opportunités’’.
S’il reconnaît que la transformation de l’anacarde qui se situe à ce jour autour de 6% ‘’n’est pas satisfaisante’’, Le DG du Conseil Coton-Anacarde se réjouit cependant des progrès réalisés à ce niveau. ‘’aujourd’hui nous sommes heureux de produire des canettes de jus de pomme d’anacarde’’, s’est-il félicité. De nombreuses initiatives sont en cours pour relever le niveau de transformation de l’anacarde, a laissé entendre le Dr Adama Coulibaly.
L’objectif à court terme est de faire passer le taux de transformation de 6% à 30% à l’horizon 2020. ‘’Nous sommes bien partis, nous avons d’énormes intentions d’investissement en 2018. Au bout de 5 ans nous serons à même d’impulser une dynamique de sorte à parvenir à 100% de transformation dans les années à venir’’, a révélé le Dr Adama Coulibaly.
La filière anacarde reste toutefois confronté à des actes de fraudes. Ainsi sur la dernière campagne, ‘’1300 camions qui ont chargé n’ont pas déchargé’’, à en croire le DG du Conseil Coton-Anacarde. ‘’Nous sommes en train de tracer ces camions et sous peu nous serons en mesure de vous dire ce qu’ils sont devenus’’, s’est-il voulu rassurant.
Le président du Conseil d’Administration du Conseil Coton-Anacarde, Bamba Mamadou a dit sa satisfaction devant l’engouement que suscite le stand du Conseil auprès des visiteurs du SARA. ‘’Je suis totalement satisfait et cela dénote du bon travail de toutes nos équipes’’, a-t-il conclu.
Elisée B.
