Abidjan, 21 nov (AIP) – « Le secteur agricole se pose résolument au cœur de l’émergence de la Côte d’Ivoire », souligne la ministre Nialé Kaba, préconisant donc le renforcement du partenariat public-privé et du partenariat privé-privé pour booster ce secteur primordial dans le pays.
Elle a lancé cet appel lundi, à l’occasion d’une table-ronde sur la 2ème génération du Programme national d’investissement agricole (PNIA II) organisée dans le cadre du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017) qui se déroule du 17 au 26 novembre.
La ministre du Plan et du Développement a noté que malgré le potentiel de l’agriculture, un secteur qui enregistre une croissance moyenne de 9,6% au cours des quatre dernières années dont 11,8% pour la culture vivrière en Côte d’Ivoire, la dynamique est freinée par des facteurs qui limitent sa résilience, d’où la nécessité de moderniser le secteur.
A cet effet, le Gouvernement a pris des initiatives visant la sécurisation de la propriété foncière, la création récente de l’Agence foncière rurale, l’attractivité du code des investissements, l’aménagement de zones industrielles ainsi que la création d’agropoles, de zones franches et de points francs…
Mme Kaba a rappelé que dans son Plan national de développement (PND 2016-2020), l’Etat ivoirien vise un taux de transformation de 50% pour les principales cultures d’exportation, à l’horizon 2020.
Ainsi, pour accélérer la performance du secteur agricole, elle préconise les PPP, « voulus comme un partage de rôle entre l’Etat et tous ses partenaires, pour un partenariat gagnant-gagnant », qui promeuvent la valeur ajoutée, les emplois et les revenus.
Pour Nialé Kaba, les atouts du pays sont importants, vu sa position dans la CEDEAO et l’UEMOA qui lui permettent d’accéder à un marché de 300 millions d’habitants. La Côte d’Ivoire dispose également d’infrastructures de qualité, de ressources énergétiques suffisantes, ainsi que d’une main-d’œuvre jeune, abondante, qualifiée et concurrentielle.
Avec 2,4 millions d’emplois créés entre 2012 et 2015 (représentant 2/3 du total national), le secteur agricole cumule 67% des recettes d’exportation, selon Nialé Kaba.
(AIP)
akn/cmas
Elle a lancé cet appel lundi, à l’occasion d’une table-ronde sur la 2ème génération du Programme national d’investissement agricole (PNIA II) organisée dans le cadre du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017) qui se déroule du 17 au 26 novembre.
La ministre du Plan et du Développement a noté que malgré le potentiel de l’agriculture, un secteur qui enregistre une croissance moyenne de 9,6% au cours des quatre dernières années dont 11,8% pour la culture vivrière en Côte d’Ivoire, la dynamique est freinée par des facteurs qui limitent sa résilience, d’où la nécessité de moderniser le secteur.
A cet effet, le Gouvernement a pris des initiatives visant la sécurisation de la propriété foncière, la création récente de l’Agence foncière rurale, l’attractivité du code des investissements, l’aménagement de zones industrielles ainsi que la création d’agropoles, de zones franches et de points francs…
Mme Kaba a rappelé que dans son Plan national de développement (PND 2016-2020), l’Etat ivoirien vise un taux de transformation de 50% pour les principales cultures d’exportation, à l’horizon 2020.
Ainsi, pour accélérer la performance du secteur agricole, elle préconise les PPP, « voulus comme un partage de rôle entre l’Etat et tous ses partenaires, pour un partenariat gagnant-gagnant », qui promeuvent la valeur ajoutée, les emplois et les revenus.
Pour Nialé Kaba, les atouts du pays sont importants, vu sa position dans la CEDEAO et l’UEMOA qui lui permettent d’accéder à un marché de 300 millions d’habitants. La Côte d’Ivoire dispose également d’infrastructures de qualité, de ressources énergétiques suffisantes, ainsi que d’une main-d’œuvre jeune, abondante, qualifiée et concurrentielle.
Avec 2,4 millions d’emplois créés entre 2012 et 2015 (représentant 2/3 du total national), le secteur agricole cumule 67% des recettes d’exportation, selon Nialé Kaba.
(AIP)
akn/cmas