Abidjan, 21 nov (AIP) – Lors d’une table ronde sur la 2ème génération du Programme national d’investissement agricole (PNIA II) de Côte d’Ivoire, le directeur de l'Agriculture et du Développement rural de la CEDEAO, Alain Sy Traoré, a salué le caractère inclusif de cette initiative.
« La CEDEAO reconnaît la pertinence du PNIA II… », a déclaré le représentant de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest lundi à la tribune du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017) qui se déroule du 17 au 26 novembre.
Toutefois, Alain Sy Traoré a attiré l’attention du Ministère ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural sur certains aspects qui méritent d’être corrigés ou améliorés.
A ce niveau, le directeur de l’Agriculture de la CEDEAO a souhaité l’optimisation de la politique participative et inclusive concernant les acteurs. Pour lui, le potentiel des partenaires techniques et financiers en termes d’accompagnements multiformes n’est pas suffisamment exploité.
« Le cadre institutionnel multisectoriel doit être plus robuste pour intégrer les parties prenantes notamment dans la mise en œuvre du processus… », a ajouté M. Traoré. Après avoir impliqué toutes ces parties dans la planification, qu’ils soient impliqués dans la mise en œuvre, a-t-il explicité.
« Par conséquent, la CEDEAO attire l’attention sur le dispositif interministériel du PNIA, afin de garantir une porte d’entrée en Côte d’Ivoire auprès des partenaires techniques et financiers et multisectoriels… », a conclu Alain Sy Traoré.
Il s’exprimait juste après le lancement du Business meeting de financement du PNIA II par le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly. Ce dernier a salué notamment la CEDEAO pour son appui à la Côte d’Ivoire, dans le processus de formulation du Programme.
Le PNIA II, courant sur la période 2018-2025, se chiffre à 11.905 milliards FCFA dont 4.325 milliards attendus des partenaires techniques et financiers, et du secteur privé. Les intentions de financement seront annoncées samedi à la clôture du SARA 2017.
Quatre ministères techniques composant la « grande famille agricole » sont impliqués dans ce Programme. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MINADER), le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts, et le ministère de l’Environnement et du Développement durable.
(AIP)
akn/cmas
« La CEDEAO reconnaît la pertinence du PNIA II… », a déclaré le représentant de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest lundi à la tribune du 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017) qui se déroule du 17 au 26 novembre.
Toutefois, Alain Sy Traoré a attiré l’attention du Ministère ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural sur certains aspects qui méritent d’être corrigés ou améliorés.
A ce niveau, le directeur de l’Agriculture de la CEDEAO a souhaité l’optimisation de la politique participative et inclusive concernant les acteurs. Pour lui, le potentiel des partenaires techniques et financiers en termes d’accompagnements multiformes n’est pas suffisamment exploité.
« Le cadre institutionnel multisectoriel doit être plus robuste pour intégrer les parties prenantes notamment dans la mise en œuvre du processus… », a ajouté M. Traoré. Après avoir impliqué toutes ces parties dans la planification, qu’ils soient impliqués dans la mise en œuvre, a-t-il explicité.
« Par conséquent, la CEDEAO attire l’attention sur le dispositif interministériel du PNIA, afin de garantir une porte d’entrée en Côte d’Ivoire auprès des partenaires techniques et financiers et multisectoriels… », a conclu Alain Sy Traoré.
Il s’exprimait juste après le lancement du Business meeting de financement du PNIA II par le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly. Ce dernier a salué notamment la CEDEAO pour son appui à la Côte d’Ivoire, dans le processus de formulation du Programme.
Le PNIA II, courant sur la période 2018-2025, se chiffre à 11.905 milliards FCFA dont 4.325 milliards attendus des partenaires techniques et financiers, et du secteur privé. Les intentions de financement seront annoncées samedi à la clôture du SARA 2017.
Quatre ministères techniques composant la « grande famille agricole » sont impliqués dans ce Programme. Ce sont le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MINADER), le ministère des Ressources animales et halieutiques, le ministère des Eaux et Forêts, et le ministère de l’Environnement et du Développement durable.
(AIP)
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