Le paludisme, selon un document du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), représente depuis plusieurs siècles un véritable problème de santé publique dans le monde entier avec une prédominance en Afrique subsaharienne où la maladie représente 33% des motifs de consultation dans les structures sanitaires.
Pour de nombreux pays du monde, il constitue un frein à la santé et au développement socio-économique des populations avec environ 200 millions de cas et 660 000 décès liés à la maladie par an.
En Côte d’Ivoire, précise le document, le paludisme représente 33% des motifs de consultation dans les structures sanitaires. Le taux d’incidence déclarée du paludisme dans la population est de 14 cas pour 1000 habitants. Il est responsable de 40% des causes d’absentéisme en milieu scolaire et professionnelle et de 50% de perte de revenu agricole.
L’agent vecteur de cette maladie est le moustique qui se reproduit dans les retenues d’eau stagnante aux abords des habitations, les étangs, les rizières etc.
Ainsi, dans le cadre de cette lutte anti-vectorielle, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique avec l’appui du Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, prévoit une campagne de démoustication dans les communes d’Agboville, Tiassalé, Toumodi et Yamoussoukro.
Cette campagne sera organisée dans ces localités de novembre à décembre 2017, avec l’appui technique d’une entreprise privée sélectionnée à cet effet.
(AIP)
yy/akn/fmo
Pour de nombreux pays du monde, il constitue un frein à la santé et au développement socio-économique des populations avec environ 200 millions de cas et 660 000 décès liés à la maladie par an.
En Côte d’Ivoire, précise le document, le paludisme représente 33% des motifs de consultation dans les structures sanitaires. Le taux d’incidence déclarée du paludisme dans la population est de 14 cas pour 1000 habitants. Il est responsable de 40% des causes d’absentéisme en milieu scolaire et professionnelle et de 50% de perte de revenu agricole.
L’agent vecteur de cette maladie est le moustique qui se reproduit dans les retenues d’eau stagnante aux abords des habitations, les étangs, les rizières etc.
Ainsi, dans le cadre de cette lutte anti-vectorielle, le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique avec l’appui du Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, prévoit une campagne de démoustication dans les communes d’Agboville, Tiassalé, Toumodi et Yamoussoukro.
Cette campagne sera organisée dans ces localités de novembre à décembre 2017, avec l’appui technique d’une entreprise privée sélectionnée à cet effet.
(AIP)
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