Une campagne de démoustication dont l’objectif est de rompre la chaîne de transmission du paludisme dans la ville d’Agboville, a été lancée lundi, par le Secrétaire général 1 de préfecture, Ndri Kouassi, au nom du préfet de région.
Selon le docteur Dougoné Bi Marcellin du Programme National de Lutte contre le paludisme qui conduit le projet dans la localité, il s’agit de sensibiliser la population à l’effet de l’amener à reconnaître les gites larvaires et les détruire physiquement, à procéder à la destruction chimique des larves et à éliminer les moustiques adultes par la fumigation (épandage de fumée contenant un insecticide).
Ces gites à détruire sont constitués essentiellement d’objets usagés tels que les pneus usés, les boîtes de conserve, les vieux récipients, les caniveaux bouchés, les retenues d’eau stagnante etc.
C’est pourquoi, des agents mobilisateurs vont dans un premier temps se charger de la sensibilisation des ménages sur certaines notions relatives à la lutte contre le paludisme puis passer le relai aux agents de l’Institut d’Hygiène Publique (INHP) et de la mairie qui vont s’occuper de la destruction chimique des gites larvaires identifiés et de la fumigation dans les foyers.
Alors, pour le succès de l’opération qui part du 20 au 27 novembre, il est demandé aux ménages de laisser portes et fenêtres ouvertes, afin que la fumée puisse circuler librement dans les recoins des maisons où se cachent les moustiques. Car, les produits utilisés sont dit-on, inoffensifs pour l’espèce humaine.
Dans son plan stratégique pour la santé, le gouvernement ivoirien prévoit, dit-on, l’éradication du paludisme à l’horizon 2030. C’est dans cette optique que le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, a initié ce projet de démoustication qui, pour le moment prend en compte quatre districts sanitaires du pays à savoir Agboville, Tiassalé, Toumodi et Yamoussoukro.
(AIP)
yy/akn/fmo
Selon le docteur Dougoné Bi Marcellin du Programme National de Lutte contre le paludisme qui conduit le projet dans la localité, il s’agit de sensibiliser la population à l’effet de l’amener à reconnaître les gites larvaires et les détruire physiquement, à procéder à la destruction chimique des larves et à éliminer les moustiques adultes par la fumigation (épandage de fumée contenant un insecticide).
Ces gites à détruire sont constitués essentiellement d’objets usagés tels que les pneus usés, les boîtes de conserve, les vieux récipients, les caniveaux bouchés, les retenues d’eau stagnante etc.
C’est pourquoi, des agents mobilisateurs vont dans un premier temps se charger de la sensibilisation des ménages sur certaines notions relatives à la lutte contre le paludisme puis passer le relai aux agents de l’Institut d’Hygiène Publique (INHP) et de la mairie qui vont s’occuper de la destruction chimique des gites larvaires identifiés et de la fumigation dans les foyers.
Alors, pour le succès de l’opération qui part du 20 au 27 novembre, il est demandé aux ménages de laisser portes et fenêtres ouvertes, afin que la fumée puisse circuler librement dans les recoins des maisons où se cachent les moustiques. Car, les produits utilisés sont dit-on, inoffensifs pour l’espèce humaine.
Dans son plan stratégique pour la santé, le gouvernement ivoirien prévoit, dit-on, l’éradication du paludisme à l’horizon 2030. C’est dans cette optique que le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique, a initié ce projet de démoustication qui, pour le moment prend en compte quatre districts sanitaires du pays à savoir Agboville, Tiassalé, Toumodi et Yamoussoukro.
(AIP)
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