Près de cinquante ans après leur rencontre, Aboudramane Sangaré reste fidèle à l’ex-président. Leader de la branche la plus radicale du FPI, il refuse de voir le parti tourner la page.
Aboudramane Sangaré est un personnage discret qui préfère le silence de sa vaste résidence privée de Cocody aux tumultes des rassemblements publics – il n’a d’ailleurs pas souhaité répondre aux sollicitations de Jeune Afrique. Mais, à 71 ans, cet enseignant titulaire d’un doctorat d’État en droit international public obtenu à l’Institut du droit de la paix et du développement (IDPD) de Nice n’a pas renoncé : ni à obtenir la libération de l’ex-président ivoirien, jugé à La Haye, ni à tenir les rênes du Front populaire ivoirien (FPI, parti d’opposition),... suite de l'article sur Jeune Afrique
Aboudramane Sangaré est un personnage discret qui préfère le silence de sa vaste résidence privée de Cocody aux tumultes des rassemblements publics – il n’a d’ailleurs pas souhaité répondre aux sollicitations de Jeune Afrique. Mais, à 71 ans, cet enseignant titulaire d’un doctorat d’État en droit international public obtenu à l’Institut du droit de la paix et du développement (IDPD) de Nice n’a pas renoncé : ni à obtenir la libération de l’ex-président ivoirien, jugé à La Haye, ni à tenir les rênes du Front populaire ivoirien (FPI, parti d’opposition),... suite de l'article sur Jeune Afrique