Abidjan– Dans son stand d’exposition au 4ème Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA 2017), au pavillon C, l’organisation interprofessionnelle agricole de la filière coton (INTERCOTON) présente aux visiteurs la chaîne des valeurs de cette culture phare du Nord ivoirien.
Selon le responsable de la communication et des statistiques, Fihox Laurent Gbegbe, INTERCOTON est présente au SARA 2017 pour faire découvrir au public cette chaîne des valeurs parce que malheureusement, le coton est l’un des textiles les plus utilisés à cause de ces qualités mais beaucoup de gens n’ont jamais vu un cotonnier.
Raison pour laquelle un cotonnier, dans sa situation actuelle dans le Nord de la Côte d’Ivoire, est exposé au stand, constituant une attraction pour les visiteurs, enfants comme adultes, a-t-il expliqué, lundi, à l’AIP.
« Dans le coton, rien ne se jette… », observe Fihox. La graine va devenir du tourteau pour nourrir les animaux, elle sert à fabriquer des aliments pour les poulets, permet de fabriquer de l’huile pour la cosmétique et pour l’alimentation…
Le responsable de la communication et des statistiques à INTERCOTON qui a en outre salué le thème du SARA 2017, « Transformation structurelle de l’économie agricole face aux changements climatiques », a souligné que le changement climatique, un sujet d’actualité, n’épargne pas la culture du coton.
« Et on essaie, avec la recherche, les projets comme le PSAC (Projet d’appui au secteur agricole, ndlr), de trouver des palliatifs pour venir à bout » de ce phénomène, précise-t-il.
D’après Fihox Laurent, dans le cadre de la recherche, l’objectif est de trouver des variétés qui résistent au changement climatique. INTERCOTON s’attèle, avec ses partenaires, à voir comment doter les producteurs de tracteurs qui leur permettent de labourer le sol même quand il est sec, pour s’adapter au changement climatique.
Au titre des statistiques, le responsable de la communication de l’instance regroupant tous les acteurs de la filière coton, du producteur au transformateur, annonce une production de 328 000 tonnes.
La Côte d’Ivoire avait connu une production qui est montée jusqu’à 450 000 T mais avec le changement climatique, il y a eu quelques difficultés. La production est passée à 310 000 T pour remonter à 328 000 T actuellement, rappelle-t-il, escomptant pour la nouvelle campagne en cours, 400 000 T et même une progression pour dépasser le chiffre record.
Par ailleurs, tout au long du SARA 2017 ouvert le 17 novembre pour s’achever le 26, INTERCOTON organise des journées thématiques dédiées entre autres aux producteurs, aux égreneurs, aux triturateurs, aux filateurs, jusqu’à la ‘’Journée de qualité’’, précise Fihox.
cmas
Selon le responsable de la communication et des statistiques, Fihox Laurent Gbegbe, INTERCOTON est présente au SARA 2017 pour faire découvrir au public cette chaîne des valeurs parce que malheureusement, le coton est l’un des textiles les plus utilisés à cause de ces qualités mais beaucoup de gens n’ont jamais vu un cotonnier.
Raison pour laquelle un cotonnier, dans sa situation actuelle dans le Nord de la Côte d’Ivoire, est exposé au stand, constituant une attraction pour les visiteurs, enfants comme adultes, a-t-il expliqué, lundi, à l’AIP.
« Dans le coton, rien ne se jette… », observe Fihox. La graine va devenir du tourteau pour nourrir les animaux, elle sert à fabriquer des aliments pour les poulets, permet de fabriquer de l’huile pour la cosmétique et pour l’alimentation…
Le responsable de la communication et des statistiques à INTERCOTON qui a en outre salué le thème du SARA 2017, « Transformation structurelle de l’économie agricole face aux changements climatiques », a souligné que le changement climatique, un sujet d’actualité, n’épargne pas la culture du coton.
« Et on essaie, avec la recherche, les projets comme le PSAC (Projet d’appui au secteur agricole, ndlr), de trouver des palliatifs pour venir à bout » de ce phénomène, précise-t-il.
D’après Fihox Laurent, dans le cadre de la recherche, l’objectif est de trouver des variétés qui résistent au changement climatique. INTERCOTON s’attèle, avec ses partenaires, à voir comment doter les producteurs de tracteurs qui leur permettent de labourer le sol même quand il est sec, pour s’adapter au changement climatique.
Au titre des statistiques, le responsable de la communication de l’instance regroupant tous les acteurs de la filière coton, du producteur au transformateur, annonce une production de 328 000 tonnes.
La Côte d’Ivoire avait connu une production qui est montée jusqu’à 450 000 T mais avec le changement climatique, il y a eu quelques difficultés. La production est passée à 310 000 T pour remonter à 328 000 T actuellement, rappelle-t-il, escomptant pour la nouvelle campagne en cours, 400 000 T et même une progression pour dépasser le chiffre record.
Par ailleurs, tout au long du SARA 2017 ouvert le 17 novembre pour s’achever le 26, INTERCOTON organise des journées thématiques dédiées entre autres aux producteurs, aux égreneurs, aux triturateurs, aux filateurs, jusqu’à la ‘’Journée de qualité’’, précise Fihox.
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